Le mari de Maxime Meiland répond à une rumeur selon laquelle il souhaite divorcer


Leroy Molkenboer, le mari de Maxime Meiland, répond en riant à la rumeur selon laquelle il souhaite divorcer. «J’en ai parlé avec lui en riant», raconte le biographe Jan Dijkgraaf.

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Le mariage de Maxime Meiland et Leroy Molkenboer est sur le point d’exploser. C’est du moins ce qu’affirme l’ancienne amie de la famille Meilandje, Caroline van Eeden. « Je suis désolée pour Leroy, mais bonne chance, car il ne durera pas », dit-elle. « Je vais vous le dire maintenant sur une note. Sa vie n’est qu’un gros mensonge. Elle ment tout.

‘Allez!’

Qu’en pense Leroy ? Jan Dijkgraaf, le biographe des Meilandje, le révèle lors d’une conversation avec Fin de semaine. « J’en ai ri avec Leroy : ‘Le fait que tu sois toujours avec Maxime, tu étais en train de divorcer, n’est-ce pas ?’ Ils n’ont pas vu Caroline depuis trois ans et elle saurait désormais exactement ce qui se passe entre eux ? Bien sûr. Allez. »

Leroy soutient Maxime contre vents et marées, y compris dans l’actuelle procédure en diffamation déposée contre elle. « Il était avec nous, mais n’a pas été autorisé à entrer dans la salle d’audience car elle était fermée. Leroy est un soutien très détendu pour Maxime, il la soutient bien.

Oeuf mou

La plainte en diffamation contre Maxime a été déposée par l’homme qu’elle accuse de viol. C’est un événement qui la dérange encore beaucoup, dit Jan. « Si son mari Leroy, qui est vraiment un œuf mou au sens positif du terme, s’approche trop d’elle, elle peut parfois monter les escaliers en courant, hystérique. »

Pourquoi? « Parce qu’elle a fondamentalement peur des hommes. Même pour son propre mari. Selon Sébas (Dijkstra, son avocat, ndlr), cela est beaucoup plus fréquent chez les femmes ayant subi un viol.»

Pas une seconde

Il y a une réponse assez sceptique aux accusations de Maxime. Jan a-t-il douté d’elle ? « Pas une seconde, car je lui ai parlé de cette affaire à trois reprises. Justement pour voir s’il y avait des trous dans son histoire, et il n’y en avait tout simplement pas.



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