Depuis des jours, le bureau de Van Quickenborne examine des documents pour voir si des erreurs ont été commises dans la recherche de l’auteur de la fusillade. Une bombe a été découverte jeudi soir et a explosé vendredi matin. « Il n’y avait pas d’autre choix que le licenciement. » Et pourtant, il a essayé de garder le secret jusqu’au dernier moment : ses collègues ministres ont dû l’apprendre par la presse.
ttn-fr-34