Le jardinier ferait le travail pour 600 euros, mais c’était un peu différent : l’assurance veut maintenant voir 1,5 tonne

Pour enlever en toute sécurité le peuplier canadien, le jardinier abattait l’arbre en « grimpant aux arbres ». Mais lorsque cela s’avérait trop dangereux à cause de la pourriture de l’arbre et des vents violents, l’arbre était encore abattu de manière traditionnelle : avec une encoche triangulaire et en tirant l’arbre avec des tracteurs. Cela s’est terminé par un fiasco.



ttn-fr-42