LALa chaleur estivale, cette année, se fera davantage sentir. Du moins dans les bureaux publics. Le Gouvernementen fait, continue de travailler pour éviter les effets de la crise énergétique causée par la guerre en Ukraine.
Et cela commence par imposer les premières restrictions. Cela commence par le public, mais il est presque certain que cela viendra aussi dans le secteur privé.
Climatiseurs, vient la pression
Et donc, à partir de mai ce qui a déjà été défini »fonctionnement du thermostat« , Ou un durcissement des règles sur réchauffer Et climatisation des administrations publiques.
Du 1er mai au 31 mars 2023, la température il peut descendre jusqu’à 27 degrés maximum en été et il ne peut pas dépasser 19 degrés en hiver, avec deux degrés de tolérance. La mesure ne s’appliquera pas aux cliniques, hôpitaux et maisons de repos.
Et puis des panneaux solaires sur les bâtiments publics
D’accord le ministre de l’Administration publique, Renato Brunetta, qui en plus de cette mesure entend faire plus en mettant le des panneaux solaires sur le toit d’un million de bâtiments publics, notamment dans les écoles.
Climatiseurs, contrôles difficiles
Le problème avec le décret, comme d’habitude, c’est la question des contrôles. En effet, en cas de violation des règles, des amendes allant de 500 à 3 mille euros. Mais comment savoir qui enfreint les règles ?
Il faut aller de bureau en bureau et (pour le particulier) de maison en maison. Virtuellement impossible. La seule arme en faveur c’est que d’abaisser les températures d’un degré conduirait d’économiser environ 7/8% d’essence et c’est-à-dire une facture moins chère.
Moins de lumière dans la rue aussi
Dans le cadre de la compression des consommations, un décret pourrait également arriver pour réduire la consommation d’électricité des communes. Ce qui pourrait signifier moins de lampadaires. Le gouvernement évalue l’inclusion d’une norme pour limiter le nombre de lampes allumées et les heures d’éclairage. Selon la même logique, dans les copropriétés, l’allumage de la lumière dans les parties communes pourrait être retardé.
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