Des snacks qui ferment, des restaurateurs qui renoncent, des glaciers qui terminent la saison en septembre… Pour de nombreux entrepreneurs (de la restauration), les coûts énergétiques élevés sonnent le glas de leur entreprise, qui avait jusqu’alors survécu de justesse aux confinements.
Les entreprises fortes ont traversé la période corona grâce aux programmes de soutien et aux fonds d’urgence du gouvernement. Pas pour leur plus grand plaisir. La plupart ont poussé un soupir de soulagement lorsqu’ils ont enfin pu recommencer à gagner leur propre argent. Pour rembourser les dettes et, espérons-le, refaire des bénéfices dès que possible.
Le premier revers a été le manque de personnel, qui avait commencé à travailler ailleurs pendant la crise corona et y est resté. Certains entrepreneurs ont dû limiter leurs heures d’ouverture ou recevoir moins de convives car la cuisine ne pouvait plus le supporter.
Alors que de nombreuses entreprises sont encore loin des niveaux de revenus d’avant la crise, les prix exorbitants de l’énergie et la hausse des prix d’achat s’ajoutent à cela. Même les plus forts sont maintenant en danger de chute ou ils l’ont déjà fait.
Le gouvernement doit-il intervenir à nouveau pour aider les entrepreneurs à sortir de cette nouvelle crise ? Ou le soutien financier est-il déjà suffisant et les entreprises doivent-elles s’en occuper elles-mêmes ? Donnez votre avis à la déclaration du jour.