Des délégations de tous les gouvernements affiliés au traité de l’ONU sur le climat participent aux pourparlers. Les pays approuvent le résumé pour les décideurs phrase par phrase, les scientifiques impliqués vérifiant que le contenu reste intact. Cette méthode est chronophage, mais elle contribue aussi au statut du rapport : les gouvernements qui ont donné leur aval ne peuvent pas démentir ensuite ce qu’il dit.
Le rapport dit de synthèse devrait rassembler toutes les conclusions qui ont été tirées ces dernières années. Par exemple, les publications précédentes ont traité des moyens de lutter contre le changement climatique ou des pays les plus vulnérables au réchauffement climatique. Maintenant, les scientifiques peuvent relier ces sujets.