Un médecin généraliste fou de SEXE risque de perdre sa carrière après qu’un tribunal a appris qu’il s’était amusé avec une série de femmes dans son cabinet, dont une collègue mariée.
Le Dr Thomas Plimmer, alors qu’il avait une aventure avec une employée, lui a montré 197 vidéos et photos de lui en train d’avoir des relations sexuelles avec d’autres femmes, a-t-on affirmé.
3
Plimmer, 40 ans, diplômé de Cambridge, a invité deux autres femmes rencontrées sur des sites de rencontres à son cabinet, où il s’est livré à des actes sexuels pendant les heures de travail.
Un tribunal des médecins a statué hier qu’il avait envoyé à un employé une vidéo non sollicitée de lui en train d’avoir des relations sexuelles avec une autre femme.
Mais il a ajouté que les allégations selon lesquelles Plimmer avait eu des relations sexuelles avec la femme alors qu’elle ne le voulait pas n’étaient pas prouvées.
Plimmer – qui a été filmé pour un épisode de First Dates sur Channel 4 en 2018 – a déclaré que tous leurs actes étaient consensuels et a soutenu que tout ce qui s’était passé était dû à sa dépendance sexuelle.
Le tribunal avait appris plus tôt qu’il avait menti à deux amants en feignant la maladie dans sa famille pour « lui permettre de jongler et de voir d’autres femmes ».
Mark Monaghan, présentant le cas au nom du Conseil médical général, a déclaré : « C’était complètement fabriqué. C’est un menteur fréquent, plausible et régulier.
À une occasion, Plimmer a dit à son collègue du cabinet de Swindon, Wilts, qu’il avait quelque chose pour lui « remonter le moral » avant de mettre la main sur ses parties intimes.
Il s’est également approché d’elle avec son pantalon défait et a pratiqué un acte sexuel devant elle.
Et il a menacé de « trancher la gorge » d’une ancienne petite amie qui menaçait d’en parler au Conseil médical général, a-t-on appris à l’audience.
Les accusations d’abus d’une position plus élevée et d’usage de son pouvoir sur un collègue n’ont pas été prouvées.
Le Dr Plimmer a déclaré à l’audience : « Rechercher une activité sexuelle était un besoin, et j’ai menti pour que ce besoin soit satisfait, et je n’ai pas été honnête avec les gens pour que ce besoin soit satisfait. »
Une audience en avril prochain déterminera sa sanction.
3