Le doute de l’italien : Cabral ou Jovic ? "Pendant la course, ils ont pu être vus ensemble…"

L’entraîneur de la Fiorentina qui affronte West Ham en finale : « Castrovilli ne sera pas là, blessé. Les Anglais sont forts, mais si on arrive en finale, on a aussi des avantages »

De notre correspondant Giacomo Detomaso

« D’Arzignano à Prague pour rester dans l’histoire », Vincenzo Italiano résume sa carrière d’entraîneur par un titre, arrivé à la veille du match le plus important, la finale de Conference League de son équipe de la Fiorentina contre West Ham. Le deuxième match en quelques jours avec un titre en jeu, après la défaite en Coppa Italia contre l’Inter, une expérience qui peut donner des avantages « en termes de préparation, sur le plan mental », comme il l’explique en conférence de presse sur le veille, dans le ventre de l’Eden Arena. « Nous avons pris un bon départ à Rome et avons eu un black-out, mais nous sommes de retour dans le match. Nous n’apportons pas le résultat de l’Olimpico mais la manière dont une finale doit être préparée, vécue et jouée ». Gaetano Castrovilli ne sera pas au milieu de terrain : « Il a eu une contusion et n’a pas complètement récupéré, nous sommes désolés, mais nous ne l’aurons pas disponible ». Le doute en attaque entre Cabral et Jovic n’est pas encore levé, du moins officiellement : « Quand vous choisissez qui envoyer sur le terrain, vous évaluez la performance, les adversaires et leur façon de défendre. Les deux marquent des buts et travaillent pour l’équipe, ils nous ont sortis d’un moment difficile. Pendant le match, ils pouvaient aussi jouer ensemble, mais celui qui jouera le fera comme il l’a toujours fait, avec et sans ballon. En espérant qu’il puisse le mettre ».

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Du respect mais pas de la peur pour l’adversaire : « West Ham est l’une des équipes les plus fortes du tournoi et ils sont allés jusqu’au bout, les valeurs initiales se confirment. Ils ont des joueurs de haut niveau, forts à tous points de vue, mais si nous atteignons la finale, nous aussi nous avons des mérites. Nous jouerons toutes nos cartes avec la confiance du chemin parcouru en coupes et dans le retour en championnat. Nous serons prêts ». L’un des duels clés est celui au milieu de terrain entre Amrabat et Rice : « Deux joueurs qui élèvent le niveau de leurs équipes, des joueurs qui s’ils sont à leur meilleur peuvent déterminer le jeu. Amrabat est important pour nous : quand il est à 100% c’est un homme que tout le monde aimerait avoir pour sa force, sa capacité à récupérer les balles et à arrêter les actions adverses dans l’œuf. J’espère que demain il s’y mettra corps et âme et gagnera son duel personnel avec Rice ». Environ 10 000 fans suivront la Fiorentina à Prague, dont beaucoup sans billets. L’Italien les remercie et va plus loin : « Tout Florence va nous pousser. Il n’y aura même pas un Florentin qui ne nous donnera un coup de main pour pousser le ballon dans les buts. Nous espérons réaliser ce rêve ».

Biraghi et Milenkovic

Le capitaine Cristiano Biraghi dirigera l’équipe sur le terrain, rappelant les moments les plus difficiles de la saison : « J’ai toujours essayé de protéger le groupe des critiques, ce qui est inévitable dans notre monde. » L’ancien joueur de l’Inter fait une promesse aux supporters, qui les ont suivis même sur les matchs à l’extérieur les plus éloignés de cette Ligue de conférence : « On va tout donner, on n’aura même pas la force dans les jambes pour se rendre au vestiaire ». chambre ». Avec Biraghi dans la salle de presse se trouve le central Nikola Milenkovic, qui aurait pu jouer la finale avec l’autre équipe, étant donné l’intérêt de West Ham pour lui. Le Serbe ne s’est pas laissé tenter par la Premier League et l’été dernier il a choisi de renouer avec la Fiorentina : « Ça fait six ans que je suis ici, j’ai grandi avec ce maillot. J’ai renouvelé parce que je connaissais les ambitions du propriétaire et je comme le football offert par le « entraîneur ». En terminant, les deux défenseurs adressent une pensée à Davide Astori : « Il est toujours avec nous, c’est une pensée constante, dans le vestiaire il y a son casier, ses photos. Pour ceux qui l’ont connu, ce sera une raison de plus de relever le défi. tasse ».



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