tun outil non seulement pour satisfaire une bizarrerie esthétique, mais aussi pour résoudre des « défauts » aux répercussions graves et douloureuses d’un point de vue psychologique. Décrire la chirurgie esthétique dans ce sens est la mission de Mon ami bistouri – Confidences intimes, diffusé aujourd’hui à 14h50 sur temps réel. À la tête du programme, le Dr Damien Tambascochirurgien plasticien à l’hôpital San Carlo de Nancy à Rome.

Mon ami bistouri – Confidences intimesen temps réel

Les protagonistes ? Ce sont des gens ordinaires : ils comptent sur la chirurgie pour résoudre ce qu’ils croient être un défaut physique qui les empêche de vivre en paix. Pourquoi obtenir un sentiment constant de malaise psychophysique« associée à des pathologies douloureuses », explique le communiqué.

L’inconfort est le moteur qui pousse les patients à passer sous le bistouri. Le but est d’améliorer l’extérieur pour améliorer l’intérieur, et résoudre un problème qui les limite dans la vie de tous les jours. Certains, par exemple, oui ils confient au Dr Tambasco la correction d’une blessure causée par une intervention chirurgicale subie dans le passé.

Celle diffusée à partir d’aujourd’hui, pour 8 épisodes, est donc une série « éthique », qui ne représente pas des personnages aux lèvres de canot et à la peau étirée par des litres de Botox. Mais des patients avec « des histoires ordinaires aux implications extraordinaires », comme l’indique la promo. Leurs histoires offrent un aperçu réaliste de la société.

« Mon ami scalpel – Confidences intimes », le chirurgien Damiano Tambasco. (Découverte de Warner Bros.)

Les protagonistes des histoires

La chirurgie – suivie par les caméras dans la salle d’opération – n’est en fait que la dernière étape qui commence la nouvelle vie. Avant de se confier totalement à son ami scalpel, le patient de garde raconte son histoire. Ouvrir les portes de son passé et de son présent e expliquant les raisons pour lesquelles il a décidé de se faire opérer.

Entretiens avec Damiano Tambasco ils sont l’occasion juste et nécessaire de le faire. Le le médecin encourage chacun à révéler les émotions et les pensées qui les accompagnent depuis un certain temps et cela l’a poussé à être là.

Il y a 15 histoires abordées : très différentes les unes des autres, elles photographient des besoins plutôt transversaux. Il y a l’avocat et le boucher, l’infirmière et la vendeuse, ainsi que le cascadeur et le podologue.

Parmi les histoires racontées, celle d’une femme qui a besoin d’une opération au dos. Elle est tombée dans une marmite bouillante lorsqu’elle était enfant et en porte encore aujourd’hui les traces. Une autre, en revanche, a été victime d’un accident sur le passage piéton et vit depuis des années avec une bosse visible à travers ses leggings. Enfin, un garçon laissé sans cheveux, qui grâce à l’autogreffe reprend confiance en lui.

Qui est Mon ami scalpelDocteur Damiano Tambasco ?

Né en 1983, le chirurgien plasticien Damiano Tambasco est originaire de Salerne (il est né à Montano Antilia, au cœur du Cilento). Diplômé en médecine à Rome, il tombe amoureux de la chirurgie esthétique lors d’un Erasmus en Espagne, se spécialisant notamment dans chirurgie plastique reconstructrice.

Après des expériences entre Royaume-Uni, États-Unis et Colombie, est revenu à Rome : aujourd’hui c’est chef de l’unité de chirurgie et de médecine esthétique de l’hôpital San Carlo di Nancy à Rome.

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