Le décret avance la compression finale. Du superbonus à la location courte durée : que choisir


Négociations gouvernementales non-stop sur le décret sur le paiement anticipé. mardi 28 novembre les votes en commission sénatoriale reprendront et la majorité devra trouver un accord en son sein (et avec l’opposition) sur les changements à présenter. « Il y aura un maxi-amendement du gouvernement » a déclaré le ministre de l’Economie Giancarlo Giorgetti. La stratégie sous-jacente semble être de présenter uniquement des changements « réglementaires », laissant de côté tous les amendements qui nécessitent une couverture. mais voyons quels sont les enjeux.

Super bonus

L’ANCE continue d’insister sur cette mesure. « Nous attendons depuis un an la solution promise par le gouvernement pour les prêts problématiques et aussi une prolongation » du super bonus pour les copropriétés, a déclaré la présidente Federica Brancaccio. Mais l’aversion du ministre de l’Économie à l’idée d’allouer de nouvelles ressources à ce chapitre est connue. Il reste un amendement de Forza Italia – identique à celui signé par le M5S – qui demande de maintenir 110% pour ceux qui auront réalisé au moins 60% des travaux d’ici la fin de cette année avec une couverture provenant de la taxe web.

Prime psychologue

Mais il y a de nombreux sujets sur lesquels les Azzurri insistent comme celui de la prime psychologue pour laquelle ils proposent de tripler les fonds pour 2023, pour atteindre 15 millions et d’en allouer 40 millions à partir de 2024. Une proposition qui, entre autres, a sur le papier le soutien de toute l’opposition qui a soulevé la question et développé des propositions allant dans le même sens.

Locations à court terme

Un autre front ouvert est celui des locations à court terme. Parmi les amendements proposés signés par Ronzulli-Lotito se distingue celui pour l’introduction du Cin, le code d’identification anti-évasion pour les locations de courte durée.

En savoir plus

Avantages bancaires marginaux

La proposition du rapporteur de la mesure, Guido Quintino Liris, émane plutôt de Fratelli d’Italia, qui vise à résoudre le problème des prêts hypothécaires à taux bonifié accordés aux employés des banques par les établissements de crédit, pénalisés par les règles sur les avantages sociaux. La proposition établit que le taux d’actualisation à prendre comme référence, chaque année, pour calculer le seuil des avantages sociaux, est celui en vigueur au moment de la stipulation ou de la renégociation du prêt et non plus celui de l’année en cours.



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