Le créateur de théâtre et ancien journaliste Jos Visscher (65 ans) d’Assen est décédé: fin de l’Odyssée

L’ancien journaliste, créateur de théâtre et organisateur de festivals Jos Visscher est décédé hier dans sa ville natale d’Assen. Il a été malade pendant une courte période. Visscher a eu 65 ans.

Jos Visscher était un animal de théâtre dans l’âme et dans l’âme, a (ré)écrit des pièces, mis en scène et produit. Et a pris ses rouleaux lui-même. Il vient d’une famille artistiquement créative de Groningen. Le père Kees Visscher était un écrivain bien connu de Groningue, le jeune frère Bert fait toujours salle comble en tant qu’artiste de cabaret.

Jos Visscher s’est développé au fil des ans en tant qu’autodidacte pour devenir dramaturge, directeur artistique et metteur en scène. Et parfois, il se met aussi dans le rôle d’un acteur, et n’hésite pas à de longs monologues. Mais il préfère garder le contrôle et aime laisser la scène aux autres. Et l’art, il le regarde.

C’est dans les salles de théâtre, des plus grandes aux plus petites, que commence la première vie de Visscher, en tant que journaliste qui regarde tout avec un œil critique. Il est devenu critique pour le Winschoter Courant, le journal qui a ensuite fusionné avec le Drents-Groningse Pers (DGP), également éditeur du Drentse en Asser Courant et de l’Emmer Courant. Visscher accède au rang de rédacteur artistique en chef et se retrouve au siège de l’éditeur de journaux à Assen.

En 1991, il participe à la création de l’atelier de théâtre Het Hek van de Dam à Ekehaar, près d’Assen. La ferme théâtrale peut accueillir environ quatre-vingts spectateurs. En tant que directeur artistique, Visscher a été responsable de la représentation de nombreuses productions théâtrales pendant six ans. Le rideau y tombe en 2013, mais Visscher a depuis longtemps la tête ailleurs.

À Assen, il se concentre principalement sur des productions théâtrales ad hoc, qui peuvent être vues dans toutes sortes de lieux. Un ancien abattoir, en attente de démolition, est le décor du classique Qui a peur de Virginia Woolf. Il utilise un parking glacial de haut en bas comme scène pour un monologue féroce, qu’il écrit lui-même et qu’il interprète lui-même. Et une boulangerie historique délabrée, qui est sur le point de s’effondrer, s’intègre parfaitement à une pièce de théâtre.

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