Pour la première fois, des hackers semblent prendre en otage tout un pays. Par exemple, le pays d’Amérique centrale du Costa Rica a déclaré l’état d’urgence après une vague de cyberattaques sur les systèmes du ministère des Finances, entre autres. Le groupe de rançongiciels Conti, qui a déjà fait d’innombrables victimes dans le passé, se dit responsable. Après le premier attentat, le groupe a exigé une rançon de 10 millions de dollars (converti 9,5 millions d’euros). Le Costa Rica a refusé de payer cette somme, après quoi Conti a publié 97% des données gouvernementales volées sur son site Web.
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