NonPeu importe la manière dont l’enfant a été conçu ou le type de famille dont il est issu, si la parentalité est officialisée dans un pays de l’UE, elle devrait être automatiquement reconnue dans toute l’Union. Le Le Parlement européen dit oui au certificat européen de parentalité pour les enfants de couples homosexuelset il le fait dans un rapport qui vient d’être approuvé à une très large majorité.
Parlement européen, oui au certificat européen de parentalité
Il s’agit d’un vote crucial pour les familles Arcobaleno et pour les 2 millions d’enfants qui y sont encore devoir lutter contre une bureaucratie interminable pour faire reconnaître ses droits dans certains États membres. Le règlement garantirait enfin à tous les mineurs les mêmes droits prévus par les lois nationales. Qu’il s’agisse de l’éducation, des soins de santé, de la garde ou de l’héritage. Un net pas en avant qui, même s’il ne peut pas être modifier législations nationales au sujet de la famille, certainement nécessite une prise de conscience sur un thème Que, en particulier dans nNotre pays n’est pas vraiment bien accueilli.
Ce que dit la disposition
Le certificat européen de parentalité approuvé prévoit en pratique que les règles établies sont valables dans toute l’Union. Donc si vous devenez parent dans un État membre, ce rôle doit également être reconnu dans tous les autres États membres. Et le « certificat européen de parentalité » serait la preuve démontrant la relation parentale. Une disposition qui, selon le Parlement européen, il est nécessaire de sauvegarder les droits fondamentaux des mineurs quelle que soit l’orientation sexuelle de leurs parents et quelle que soit la manière dont ils sont nés, étant donné que cela n’est toujours pas le cas en Hongrie, en Pologne, en Bulgarie et même en Italie, où l’autorité judiciaire doit souvent intervenir pour rétablir les droits reconnus à l’étranger .
Le dernier mot au Conseil européen
Comme toujours, la balle passe désormais au Conseil européen pour approbation finale. Toutefois, cela nécessite le consentement unanime. un vote contre du gouvernement italien ou d’un autre pays pourrait empêcher la validation du règlement. Une situation qui pourrait toutefois être résolue ultérieurement par un accord entre le Parlement et le Conseil, qui implique toutefois généralement une modification du texte. Mais les droits des enfants passent avant tout, pensent la majorité des députés qui souhaitent que l’Union gomme toutes les disparités à l’intérieur de ses frontières. Et il est significatif que le oui soit venu avec de nombreux votes favorables du Parti populaire, c’est-à-dire du centre-droit européen, évidemment beaucoup plus ouvert que le parti italien.
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