Dominique Weesie a semé la panique à la rédaction de PowNed. Son cendrier débordant a pris feu, après quoi les rédacteurs ont dû sortir en toute hâte. « Pour éteindre les choses. »
Il est perçu comme quelqu’un qui remplit facilement ses poches au sein du diffuseur public : Dominique Weesie. Avec Rutger Castricum, il touche chaque année des tonnes d’argent à la chaîne de télévision PowNed, mais pour quoi exactement ? Lors de l’émeute provoquée par une vidéo dégoûtante de Taylor Swift, la chaîne était trop ivre pour donner une réponse professionnelle et éthique.
Les yeux sortent de ta tête
Dominique est-elle une animatrice populaire, du moins dans ses propres rangs ? Non, répond Dennis Schouten, qui a travaillé chez PowNed pendant de nombreuses années : dans son livre du même nom. « Dominique elle-même n’arrivait généralement que vers 11h30 et repartait vers 15h30. Au bureau, il s’asseyait les pieds sur la table et regardait les vidéos de Dumpert.
« Du moins, s’il passait une bonne journée. S’il passait une mauvaise journée, il venait dire à la rédaction que rien n’allait et que tout le monde devrait avoir honte.
Cendrier brûlant
Curieusement, Dominique fumait toujours au bureau, selon Dennis. « Dominique fumait toute la journée à la rédaction, mais aussi à la maison. Lumière de chameau. Toute la journée : fumer, fumer, fumer. Au bureau, il avait un très grand récipient qui contient normalement des plantes ou des fleurs. C’était son cendrier sale.
Les choses ont mal tourné une fois, poursuit-il. « Un jour, il n’avait pas bien sorti ses fesses. Ce mégot avait enflammé le reste, puis la jardinière entière avec les vieux mégots était en feu. Ensuite, le reste de la rédaction a dû venir le publier avec des verres d’eau.
Surpris
Dennis a-t-il une autre anecdote sympa sur Dominique ? Oui. « Une autre fois, nous avons été surpris par un appel téléphonique bouleversé de Dominique. Il a crié qu’il était pourchassé. Quelqu’un – selon lui un Marocain – faisait des gestes et le suivait. Dominique se rendait au bureau.
« Il nous a tous appelés à sortir. De cette façon, nous pourrions le couvrir et le protéger. A son arrivée, il y avait bien une Golf derrière lui. À l’arrêt, le monsieur dit gentiment : « Vous n’avez pas bien fermé le coffre. » C’est ça. On rigole bien sûr. Mais Dominique avait vraiment eu peur.