Le nombre de castors dans le Brabant augmente, ce qui entraîne une surpopulation des habitats de l’animal. Parfois, les castors doivent même se déplacer vers des endroits plus proches des humains. « Ensuite, ils se contentent de moins », explique Thijs van Rooij, conseiller à l’Office des eaux De Dommel.
Les castors pénètrent de plus en plus dans les habitats humains, causant de plus en plus de dégâts. « Une terrasse creusée ou des arbres rongés. Tout cela peut arriver. »
Des castors ont même été aperçus récemment au milieu d’Oisterwijk. « On le voit de plus en plus ces derniers temps. Le castor aime un milieu de vie calme, mais doit souvent se contenter de moins. »
« Après quelques années, le jeune castor doit chercher son propre territoire », explique Van Rooij. « Les zones préférées des castors sont de plus en plus occupées, les obligeant à se déplacer vers une zone moins optimale. »
Le castor est protégé. Il est interdit de perturber l’habitat, de capturer ou de tuer l’animal. « Bien que vous puissiez prendre des mesures pour empêcher l’animal de s’installer quelque part. » « Par exemple, nous avons récemment posé des grillages dans le sol du Bossche Broek à Den Bosch », explique le conseiller de l’Office des eaux. « Alors le sol ne peut pas être creusé. »
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« Il vaut mieux s’habituer à l’animal. »
Il existe même un véritable protocole castor. « Des mesures de plus en plus ambitieuses sont possibles, mais d’autres mesures doivent d’abord être prises pour éloigner le castor des humains. »
« Mais il est préférable de s’habituer à l’animal », explique van Rooij. « Je ne sais pas s’ils vont s’habituer à nous. De toute façon, ils auront de moins en moins peur des humains et oseront s’approcher. »
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