Le ministre a écrit ceci en réponse aux questions parlementaires du VVD. Ce parti demande ce que le cabinet veut organiser en matière de « langue, de travail et éventuellement de déchargement » pour les réfugiés de l’Est. Ils n’ont pas à s’intégrer, car en principe ils ne restent ici que temporairement. Mais le cabinet veut organiser quelque chose pour les Ukrainiens.Van Gennip étudie les options qui s’offrent à eux pour leur offrir « l’enseignement de la langue et l’orientation sociale ».
Elle le fait avec le ministre de l’Éducation Wiersma, entre autres. Ils travaillent sur des lieux « où les adultes peuvent se rendre pour un enseignement des langues, combiné à des enseignements pratiques qui leur montrent la voie dans notre société ». Les enfants ont travaillé sur l’éducation pendant un certain temps avant d’être ici.
Et le cabinet réfléchit également à une « offre supplémentaire pour la langue et le travail » si les Ukrainiens doivent rester ici plus longtemps. Mais Van Gennip ne peut pas encore dire à quoi cela devrait ressembler. Cela dépend, entre autres, de la taille du groupe et du statut de résidence qu’il reçoit.