Le cabinet est tombé à cause du regroupement familial, mais les voyages ultérieurs « empilés » ne se produisent pas souvent


Le regroupement familial « empilé », dans lequel les membres de la famille des titulaires de statut voyageant à leur tour font venir des membres de la famille, n’est pas fréquent. Le Service d’immigration et de naturalisation (IND) a reçu 880 demandes au cours des cinq dernières années, dont 350 ont été acceptées. Cela ressort clairement d’un rapport publié vendredi recherche du service. Cela concerne 1 pour cent de tous les voyageurs ultérieurs.

L’été dernier, le gouvernement s’est effondré sur la politique d’asile et notamment sur la mesure dans laquelle il fallait restreindre le regroupement familial. Le VVD avait adopté à l’époque une position ferme et estimait, entre autres choses, que ce que l’on appelle « réunion après réunification » devait être réduit. Dans une interview avec de Volkskrant Le leader du VVD et ministre sortant Dilan Yesilgöz (Justice et Sécurité) a déclaré que cela impliquerait « des milliers de personnes ». Cela s’avère faux.

L’IND explique qu’un réfugié peut voyager s’il appartient à une famille ayant déjà reçu un permis de séjour. Cependant, il arrive parfois que le membre de la famille présente un permis d’asile indépendant après son arrivée aux Pays-Bas, afin de demander à nouveau le regroupement familial après avoir obtenu le permis. Cela se produit, par exemple, lorsqu’un jeune adulte arrive aux Pays-Bas en tant que voyageur de suivi et y amène ensuite sa propre famille. Selon l’IND, les voyages dans le cadre du regroupement familial sont « indésirables », mais « pas interdits ». Cependant, le service peut y voir un abus de procédure, pouvant conduire au retrait du titre de séjour.

Droit au regroupement familial

Outre le regroupement familial, il existe également d’autres formes de regroupement familial à plusieurs niveaux, comme le recours au droit à la vie familiale. Une demande dite « 8 CEDH », du nom de l’article de loi du traité européen des droits de l’homme, se produit, par exemple, dans le cas d’un mineur suivant un membre de la famille venu aux Pays-Bas à la demande d’un parent, frère ou sœur et qui présente ultérieurement une demande pour un parent qui ne fait pas partie de la famille. De telles demandes empilées ont été reçues par l’IND 1 410 fois entre 2019 et 2023, dont 430 ont été accordées. Aucune décision n’a encore été prise dans 350 cas.

La chute du gouvernement en juillet a porté sur un quota que le VVD voulait introduire sur le nombre de voyageurs ultérieurs. Si cela n’en tenait qu’au parti, un maximum de 250 voyageurs ultérieurs par mois seraient désormais autorisés à entrer aux Pays-Bas. Cette exigence allait trop loin, surtout pour l’Union chrétienne. Les documents de négociation ont montré plus tard que la mesure VVD aurait fait une différence de 1 à 2 pour cent de l’immigration totale, tandis que des idées avaient été discutées pour les travailleurs migrants qui, dans certains cas, entraîneraient davantage de migration.

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