L’armoire est livrée avec un bonus d’arrêt supplémentaire pour les chargeurs de pointe à proximité des réserves naturelles

Le cabinet offrira une prime d’arrêt à environ trois mille entreprises qui émettent beaucoup d’azote à proximité des réserves naturelles. Si une entreprise fait faillite, il obtient jusqu’à 120 % de la valeur de l’entreprise. Cela a été décidé par les ministres concernés mardi.

Les entreprises qui reçoivent l’offre peuvent choisir d’arrêter, de déménager ou de devenir plus durables. Ils ne sont pas tenus de coopérer. Mais s’ils ne le font pas, ils se heurteront à des exigences environnementales strictes.

Le règlement découle des conseils de Johan Remkes, qui a servi de médiateur l’été dernier lors du conflit entre le cabinet et une grande partie du secteur agricole. Remkes a conseillé, entre autres, de s’attaquer aux chargeurs de pointe, c’est-à-dire aux entreprises qui émettent le plus d’azote, d’ici un an.

La plupart des chargeurs de pointe sont des exploitations agricoles, mais il existe également des entreprises dans l’industrie. Pour être éligibles à un régime, les entreprises ne doivent pas nécessairement s’arrêter complètement. Ils peuvent également devenir plus durables ou se déplacer vers un endroit plus éloigné de la nature vulnérable.

Le régime devrait fournir un espace d’azote pour aider les entreprises qui se sont retrouvées en difficulté après l’arrêt du Conseil d’État en mai 2019. En raison de cette décision, des milliers d’entreprises ont soudainement eu besoin d’un permis supplémentaire pour continuer légalement.

De plus, le nouvel espace d’azote peut résoudre les demandes de permis bloquées pour la construction et les infrastructures. Le rendement du programme devrait être clair à l’automne 2023.

Le cabinet espère proposer un plan complet vendredi pour réduire les émissions d’azote. Il stipulera également que les entreprises polluantes devront payer pour l’azote qu’elles émettent.



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