Larissa et l’art des enfants de l’art de surpasser leurs parents

Le record italien du long shot tiré de sa mère Fiona May n’est que le dernier cas où un fils de l’art fait mieux qu’une mère ou un père. De Villeneuve à Maldini, quand le destin est dans le nom

Quand un fils/fille fait mieux que le père/mère en sport alors deux sont contents, mais un de plus. Et c’est lui qui a le plus de rides sur les pommettes. un cœur lourd et une plus petite partie de l’avenir à venir. Dans la performance de Larissa Iapichino qui, aux Championnats d’Europe en salle d’Istanbul, établit le nouveau record italien du saut en longueur (6,97 mètres) en le soufflant de sa mère Fiona May, résume la confrontation de ceux qui sont nés fils de champion et passent leurs toute sa vie retraçant la trace de ceux qui l’ont précédé, essayant de faire mieux. Parfois réussir, parfois non.



ttn-fr-4