L’argent récolté pour le fabricant de vélos d’Amsterdam Siebe, qui a eu des ennuis à cause de la couronne

Depuis 37 ans, l’Amsterdammer Siebe Kunst, âgé de 73 ans, rénove les vélos du De Czaar Peterbuurt dans le centre. En plus des réparations et des nouveaux vélos, les clients aimaient aussi s’arrêter pour discuter. « C’était l’icône de cette rue », raconte un habitant du quartier. Mais en raison d’une dette de loyer contractée pendant la crise corona, Siebe est contraint de fermer son atelier.

Siebe est connu comme un homme social. Les personnes bénéficiant d’une petite subvention étaient autorisées à payer plus tard, moins ou parfois n’avaient pas à payer du tout. Cela n’avait pas d’importance pour Siebe, il était prêt pour le quartier et aidait si nécessaire. Pendant le corona, il y avait peu de vélos à réparer et ses revenus ont diminué. Parce qu’il était autorisé à rester ouvert, il n’avait pas droit à une pension alimentaire, mais le loyer était supérieur à ses revenus. Il a pu couvrir cela pendant un certain temps avec ses économies, mais ce pot s’est rapidement vidé. La dette de loyer s’est élevée à 6000 euros, ce qui signifie qu’il est désormais contraint d’arrêter et de prendre sa retraite.

« En tant que quartier, nous ne laisserons pas cela se produire »

client régulier et résident local Michel Langendijk

Le quartier a décidé de l’aider. « Siebe a toujours gardé tout abordable pour tout le monde. Quand vous entendez cette histoire qu’il doit fermer avec une dette de 6000, alors j’ai pensé : eh bien, en tant que quartier, nous ne laisserons pas cela se produire », déclare Michel Langendijk.

Au début, il était difficile pour Siebe d’accepter l’aide, mais Michel l’a exhorté à abandonner sa fierté. Alors il l’a fait. Le compteur est déjà à plus de 3500 euros et cela émeut Siebe. « Ce n’était pas seulement mon voisin mais aussi un ami cher. Ce sera une grande perte dans le quartier. »

« Tout a une fin, seul le chemin est malheureux »

atelier de réparation de vélos siebe art

Langendijk à propos du départ de Siebe le réparateur de vélos : « Une telle rue perd son savoir-faire, son histoire, quelqu’un qui connaît le quartier. Quelqu’un comme Siebe représente toujours l’origine de cette rue : vouloir être une rue sociale et vouloir être une rue sociale quartier « .

Cet aspect social est aussi ce qui manquera le plus à Siebe. Mais, dit-il : « Tout a une fin, seul le chemin est malheureux ». Si cela dépend du résident local Michel, tout ira bien. « C’est le moment de rembourser, nous allons tous faire en sorte que cet homme puisse profiter de sa retraite sans dettes. »

Voulez-vous aussi contribuer quelque chose vous-même ? Qui peut ici

? Vous ne voulez rien manquer d’Amsterdam ?

Vous avez vu une faute de frappe ? Faites-nous savoir à [email protected]



ttn-fr-55