Le groupement d’associations professionnelles ANWR Schuh veut ouvrir un nouveau champ d’activité pour le domaine de produits de la sécurité au travail avec des chaussures et des textiles. Jusqu’à présent, il n’y a pas eu d’association efficace pour ce domaine, dans lequel l’accent est mis sur les équipements de protection individuelle (EPI). Selon l’ANWR, tant les revendeurs spécialisés que les constructeurs le regrettent.
« Avec une équipe spécialisée pour les partenaires commerciaux et l’industrie, nous voulons développer et proposer de nouveaux services dans le domaine des équipements de protection individuelle », déclare le directeur général Helmut Wies, expliquant l’approche. Selon les estimations de la BDSE, le marché potentiel des chaussures de travail est d’environ 900 millions d’euros.
« D’une part, nous voulons ouvrir de nouveaux canaux de vente pour les fabricants en tant que partenaire compétent et durable et, d’autre part, soutenir les partenaires commerciaux spécialisés avec un savoir-faire et une grande variété de services », ajoute Wies.
Élargir la gamme de chaussures de travail
L’ancienne gamme de chaussures de travail doit être considérablement élargie. ANWR Schuh travaille actuellement sur le développement de modules pour le commerce spécialisé, le soutien à l’établissement de partenariats stratégiques avec des fabricants et des salons spécialisés dans le domaine des vêtements de travail et de la sécurité au travail.
Il s’agit principalement de chaussures pour les professions de la santé et de la gastronomie, car selon une enquête auprès des détaillants de l’ANWR, la majorité des employés de ces professions achètent eux-mêmes leurs chaussures de travail.
Selon Wies, les premières discussions avec des partenaires industriels spécialisés, menées par l’équipe de spécialistes de l’ANWR avec Kai Stawars, Carsten Sander et Andreas Schau, ont déjà suscité un grand intérêt pour une coopération avec une association professionnelle. La réponse des détaillants est tout aussi prometteuse. Wies tire également une conclusion positive après la visite de l’équipe au salon « Arbeitsschutz aktuell », qui s’est tenu à Stuttgart en octobre.