NonCe n’est pas un phénomène purement masculin : les femmes peuvent aussi perdre leurs cheveux. Environ une femme sur trois est touchée par la calvitie et le le problème s’aggrave : aujourd’hui, 4 millions de femmes souffrent de problèmes d’alopécie. Avec des conséquences également dans la vie quotidienne, comme l’inconfort devant le miroir, jusqu’à la peur du jugement social. Il est donc essentiel d’adopter une routine bien précise.
Alopécie féminine, les données parlent
D’après le site Informations sur les soins de santé, L’alopécie adrogénétique est un problème qui augmente chez les femmes. Elle se manifeste généralement dans trois moments fondamentaux de la vie, à savoir la puberté, la grossesse et le post-partum, la ménopause. Bien que cela soit beaucoup plus fréquent chez les hommes, La perte de cheveux touche environ 30% des femmes de 50 ans environ.
A la base de ce phénomène, il y a surtout les les changements hormonaux, notamment à variation des œstrogènes, qui diminuent, et des androgènes qui au contraire augmentent pendant la ménopause. « L’alopécie androgénétique est l’une des formes de calvitie les plus répandues et est notamment liée à l’action des hormones androgènes. Une précision s’impose cependant : il n’existe pas de corrélation intrinsèque entre la présence excessive d’androgènes et la calvitie. Cependant, lorsque les follicules pileux, génétiquement prédisposés, présentent une sensibilité excessive à l’action de ces hormones, une chute des cheveux se produit”, explique le Dr Salvatore Artiano, médecin esthétique.
Ce processus est un phénomène lent et se produit lorsque les phases de croissance des cheveux sont raccourcies et que, du fait de l’hormone, on constate un amincissement progressif de la tige : «Les cheveux deviennent de plus en plus fins, plus courts, dépigmentés, jusqu’à finalement tomber.sans repousser”, explique l’expert.
Comment reconnaître l’alopécie androgénétique
Bien qu’elle soit liée aux évolutions hormonales, L’alopécie androgénétique est un phénomène héréditaire : “Il est très probable qu’on en souffre lorsqu’il est déjà présent dans la famille, chez les parents, grands-parents, oncles ou frères” explique l’expert.
Quels sont les premiers symptômes ? “En général les premiers signes sont remarqués sur la partie supérieure du cuir chevelu. Sans traitement, elle se propage tôt ou tard, notamment sur la nuque et les tempes, tout comme chez l’homme et, selon l’échelle de Ludwig, L’alopécie féminine se développe en trois phases de gravité croissante: la première est l’apparition d’un léger éclaircissement des cheveux sur la partie supérieure du cuir chevelu. Puis, lors de la deuxième phase, l’amincissement devient bien visible. Enfin, au stade 3, la calvitie s’étend sur l’ensemble du cuir chevelu. Ce niveau avancé est rare chez les femmes. »
Conséquences psychologiques de l’alopécie androgénétique
Un problème, celui de l’alopécie androgénétique, qui ce n’est pas seulement physique et esthétique mais aussi psychologique. Si cet aspect se retrouve déjà chez les hommes, il s’applique également aux femmes, pour qui les cheveux sont un élément d’identité important. ÀCertains vont jusqu’à éviter les contacts sociaux, transformant l’alopécie en quelque chose de handicapant. Cela génère et alimente un cercle vicieux qui inclut stress, anxiété, dépression.
Comment résoudre ce problème
Heureusement, progressant très lentement, vous pouvez commencer à lutter contre l’alopécie androgénétique en prenant soin de vos follicules pileux.
Pour prévenir le phénomène, il faut changez vos habitudes capillaires dès les premiers symptômes et choisissez des formules anti-chute adaptées : «Au lieu du shampoing habituel, choisissez un shampoing anti-chute qui doit être suivi d’un lotion spéciale pour renforcer l’attache des racines. Oui, toujours, même pour les suppléments».
Comme le précise l’expert, notamment les suppléments doivent contenir la molécule Tricostrong CPX. « Celui-ci a un haut pouvoir antioxydant et aide à lutter contre le vieillissement cellulaire et donc la chute des cheveux des cheveux eux-mêmes grâce à la vitamine B qui renforce les bulbes et revitalise le cuir chevelu” conclut l’expert.
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