Dans le passé, le service de renseignement militaire ADIV en faisait trop avec trop peu de monde. Sur la base de cette analyse, le vice-amiral et haut responsable de l’ADIV Wim Robberecht a présenté mercredi son plan d’urgence pour le service au parlement à huis clos. Sa conclusion : « Si nous n’avons pas les moyens nous-mêmes, nous travaillons avec la sécurité de l’État et la police, mais surtout avec des partenaires internationaux. » L’ADIV travaillera également plus étroitement avec les tribunaux pour prévenir de nouvelles affaires comme celle de Jürgen Conings. C’est ce que dit Robberecht dans De Standaard.
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