Les protestations des supporters contre Stuttgart dans les stades comme ici près de Darmstadt ont eu un effet.
Source : imago
Jour de match après jour de match, tout le chaos. À cela s’ajoute la schadenfreude, toute la méchanceté et le fait que certains observateurs étaient plus excités de voir comment les scènes de fans prévoyaient d’interrompre les jeux cette fois que par les coups de pied proprement dits, ont été le facteur décisif.
Des balles de tennis et des petites voitures pour beaucoup d’argent. Et en plus de cela, il y avait la réelle peur de vous embarrasser plus tard légalement jusqu’aux os. Pourquoi?
Après de violentes protestations des supporters, la Ligue allemande de football a mis fin aux négociations sur l’entrée d’un investisseur.21/02/2024 | 1h50
Martin Kind a apparemment du mal à entendre
La plupart des 36 autres clubs professionnels ont publiquement reconnu leur comportement électoral. La seule conclusion logique qui reste est que Child a dû voter « oui » au nouveau milliard, contrairement à ce qu’on lui avait dit de faire.
Cela signifierait qu’un principe du LDF serait violé et que la procédure judiciaire serait ouverte. La même chose aurait été valable pour un nouveau vote, car qui a voulu déclarer le premier juridiquement invalide ?
Andreas Rettig a exprimé sa compréhension face aux protestations des supporters.18/02/2024 | 29:59 minutes
Exemple de calcul valant des milliards
Prenons la peine et faisons le calcul : il y en a un milliard pour 20 ans. Mais tout à la fois. Cela représente 50 millions par an sur la durée.
En échange, l’investisseur, que nous appelons ici le prêteur, reçoit chaque année huit pour cent des revenus médiatiques. Ils sont environ 1,1 milliard – mais aussi par an, donc multiplié par 20 !
760 millions d’euros de produits supplémentaires pour les investisseurs
Huit pour cent de ce montant représente 88 millions par an qui auraient été reversés au prêteur ; les recettes supplémentaires après 20 ans seraient de 760 millions.
Un prêt bancaire à un taux d’intérêt de 4,5 pour cent, par exemple, serait également coûteux, mais avec environ 530 millions d’euros d’intérêts, il serait nettement moins cher après 20 ans.
Manque de transparence dans la DFL et les clubs
La question se pose de savoir quel peut être le coût d’un tel prêt. Et pourquoi un investisseur ne devrait-il pas faire pression pour que ses revenus augmentent – par exemple grâce à un meilleur marketing à l’étranger, c’est-à-dire encore plus d’heures de coup d’envoi, de matchs à l’étranger, etc.
Le journaliste de ZDF, Markus Harm, évalue la fin de l’accord d’investisseur au DFL.21/02/2024 | 1:01 minutes
Les téléspectateurs ne sont que des décorations ?
Bien entendu, on ne peut pas débattre d’accords financiers sensibles avec 1 000 personnes. Mais il faudrait trouver dans chaque club des représentants experts des différents points de vue sur le sujet.
Signe de bonne volonté
Les droits d’entrée ne valent guère la peine d’être mentionnés dans le plan financier des meilleurs chiens. Le fait que la ligue garde toujours la tête baissée est peut-être un signe de bonne volonté.
Vous ne voulez pas complètement gâcher les choses avec le public. Qui sait quelles autres solidarités pourraient émerger. Après tout, nous vivons actuellement des temps difficiles. Et personne n’a cru que tout d’un coup, tout ne tournait plus autour de l’argent.
DFL tire sur la corde de lancement
:Après les protestations des fans : c’est fini pour l’accord avec les investisseurs
L’accord d’investisseur prévu en Bundesliga n’est pas à l’ordre du jour. Le présidium de la Ligue allemande de football (DFL) en a décidé lors de sa réunion extraordinaire.