La surveillance policière accrue dans la région frontalière de Menin porte ses fruits
La police peut désormais procéder à des contrôles d’identité systématiques, sans qu’il y ait de raison à cela. La décision court du 24 janvier au 6 mars et sera ensuite évaluée. Selon le chef de la police Vandecasteele, l’approche est particulièrement payante dans la petite délinquance.
La décision a été prise principalement pour faire face aux nuisances aux abords de la frontière, dans la caserne. La police effectue désormais des patrouilles accrues avec des pelotons d’intervention et des patrouilles hebdomadaires avec la cavalerie de la police fédérale. Il travaille également plus étroitement avec la police française.
La mesure pourra être prolongée si nécessaire après une évaluation début mars.