La star de NPO, Prem Radhakishun, crie également aux éditeurs


La star de NPO Radio 1, Prem Radhakishun, ne comprend rien à l’agitation autour de l’inconduite de Matthijs van Nieuwkerk. Lui-même crie simplement fort à ses éditeurs.

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Prem Radhakishun trouve très étrange que Matthijs van Nieuwkerk soit mis à l’épreuve en raison de son comportement tyrannique au sein du comité de rédaction de De Wereld Draait Door. Il pense que de Volkskrant a tout fait exploser, dit-il dans son émission Zwarte Prietpraat sur NPO Radio 1.

« Matthijs est un professionnel ! »

On ne peut pas faire confiance à De Volkskrant de toute façon, dit Prem. « Je me méfie de tout ce qui est écrit par le chiffon folklorique, car dans le passé j’ai vu le chiffon folklorique mentir. Deuxièmement, la seule personne mentionnée par son nom est sa maquilleuse. Je veux savoir qui sont tous ces anonymes et depuis combien de temps ils y travaillent.

Prem lui-même a souvent été dans DWDD. « Je connais des gens qui y ont travaillé pendant quinze ans, dont des rédactrices, et je peux vous dire : je considère Matthijs van Nieuwkerk comme un artisan fantastique. Cet homme du son qu’il aurait appelé des noms ne travaillait pas pour BNNVARA, mais pour la société d’installations.

Prem se soucie aussi

Jurer aux éditeurs est une bonne chose, selon Prem. « Je ne travaille pas si dur pour quelqu’un, un perdant trop paresseux pour faire son travail, pour ruiner mon programme. Si vous appelez cela un comportement transfrontalier, s’il vous plaît ! Je veux que plus de personnes au comportement transgressif et toutes ces âmes délicates qui pensent qu’il n’y a pas d’environnement de travail sûr, alors réveillez-vous !

Il poursuit : « Surtout les gens que j’envoie dans leur merde valent la peine d’investir, parce qu’au moment où j’arrête de te gronder, je pense : tu sais quoi, je vais laisser ton contrat expirer, et puis tu vas te faire foutre ». Je dis toujours aux gens : « Si je vous gronde, je pense que vous valez la peine d’investir. »

La culture chez PowNed

Prem pense qu’il est également logique que des présentateurs comme lui réprimandent les éditeurs. « Si vous grondez l’employé, c’est de votre cœur. »

Cela ne semble pas être un problème pour l’employeur de Prem, PowNed. Après tout, son patron, Dominique Weesie, réprimande lui aussi les employés, dit l’ancien employé Jan Versteegh. « Si je faisais quelque chose de mal, toute la rédaction m’a dit que c’était très mauvais. Par le président, Dominique Weesie.

Gronder Weesie

Jan raconte, également sur NPO Radio 1, que ce n’était vraiment pas amusant. « Je ne sais pas quels mots je peux dire ici à la radio, mais si quelqu’un te dit, devant tous tes collègues : ‘C’est nul, t’as fait de la merde, c’est rien, comment oses-tu dénoncer ça ?’ , oui, ce n’est pas gentil. (…) Ce n’était pas toujours très agréable là-bas.

En tant que rédactrice débutante, c’est terriblement difficile, dit Jan. « A un moment comme celui-là, je pourrais presque disparaître dans le sol. »

cloaque

Un cloaque va-t-il bientôt s’ouvrir à propos de PowNed ? Cela ne surprendrait pas Jan Roos :



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