Neuralink travaille sur un implant – de la taille d’une pièce de monnaie – qui sera inséré dans le crâne. Le but est de communiquer directement avec un ordinateur via le cerveau. Selon Musk, des pourparlers sont en cours avec l’organisme américain de surveillance des médicaments, la FDA, et la société espère obtenir le feu vert pour un premier test sur l’homme d’ici six mois.
Neuralink veut utiliser l’implant pour permettre aux victimes, par exemple, de la sclérose latérale amytrophique (SLA) ou d’un accident vasculaire cérébral de communiquer par leurs pensées. Dans des expériences avec des singes, par exemple, les animaux pouvaient faire fonctionner un jeu informatique avec leur cerveau.
Neuralink envisage également des implants dans d’autres parties du corps, par exemple pour redonner la vue aux aveugles.
La société de Musk n’est pas la seule à être impliquée dans la technologie pour surveiller les fonctions cérébrales. La recherche scientifique est menée depuis des décennies. Mais l’arrivée de Musk a fait en sorte que d’autres investisseurs s’intéressent au domaine et la recherche avance plus vite.