Je reste, ou plutôt je pars, enfin je reste. Dans les portes tournantes du Grand Hôtel Calciomercato, il y a aussi des petits coins où l’on peut renifler avec mécontentement. Le club renifle, le footballeur renifle, tout le monde renifle. Osimhen, Correa, Kostic, Jovic et bien d’autres : voici tous les joueurs licenciés depuis juin. Mais ils n’ont pas bougé le petit doigt de chez eux. Restant des invités pas tout à fait les bienvenus et, par conséquent, sans aucun sourire à montrer.



ttn-fr-4