La semaine de Drenthe : la fièvre catarrhale du mouton et Theodoor V. soupçonnés de moins de décès

Trop peu de soignants civils qualifiés, le virus de la fièvre catarrhale chez les moutons et l’infirmière Theodoor V. sont soupçonnés d’être à l’origine de moins de décès à l’hôpital d’Assen qu’on ne l’avait initialement annoncé. C’est ce qui a fait l’actualité à Drenthe la semaine dernière. Vous trouverez ci-dessous un aperçu des actualités les plus importantes.

Le nombre de travailleurs humanitaires civils à Drenthe a considérablement diminué, a-t-on annoncé lundi. En effet, les diplômes expirent au bout de deux ans et aucun cours n’a été dispensé en raison de la crise du coronavirus. Selon Arwoud Snippe du Hartveilig Drenthe, les cours n’ont repris que depuis le début de cette année. Mais il y a d’autres problèmes : « Certains entraîneurs ont démissionné, donc il faut vraiment chercher. »

Heart Safe Drenthe est soutenu par l’Association des communes de Drenthe. Par exemple, Midden-Drenthe dispose d’une réserve financière qui devrait permettre de fournir davantage de bénévoles, de cours et de DEA.

Ce n’était qu’une question de temps, mais le virus de la fièvre catarrhale a également été diagnostiqué à Drenthe. Par exemple, les moutons de Beilen et de Wapse, entre autres, ont été touchés par le virus. La fièvre catarrhale est mortelle pour les moutons. Cela s’appliquait également mardi au troupeau de moutons de Havelte. « Mauvaises nouvelles, bien sûr. Si vous regardez ailleurs aux Pays-Bas, vous voyez 20 à 30 pour cent du bétail mourir. Nous avons maintenant cinq cents moutons ici, donc le troupeau devient petit. »

Drenthe sympathise également avec les victimes de la guerre entre Israël et le Hamas. Cela vaut également pour Willem Vugteveen d’Assen. Il y a près de trente ans, il a créé une fondation pour aider les enfants palestiniens. Le bâtiment de la fondation sert désormais d’abri anti-aérien et abrite des personnes qui ont fui leur foyer. « Vous devrez travailler ensemble pour créer un monde dans lequel vous pourrez vivre ensemble sur ce bout de terre », a déclaré Vugteveen mercredi dernier.

Les administrateurs d’Emmen et de Westerwolde exigent que les nuisances autour du centre d’enregistrement de Ter Apel soient éliminées. Le nombre d’incidents dans les villages environnants comme Nieuw-Weerdinge augmente également et la confiance dans la politique diminue. Néanmoins, le secrétaire d’État Van der Burg a promis jeudi des améliorations aux habitants de Ter Apel et de Nieuw-Weerdinge. « En prouvant le contraire de ce que pensent les habitants. Je comprends que les habitants pensent : ‘Oui, oui… c’est toujours des paroles’. La seule façon de retrouver la foi, c’est de la lier aux actes et de voir vraiment qu’il y a moins de nuisances à Nieuw. -Weerdinge ou Ter Apel. »

Le ministère public soupçonne l’infirmière Theodoor V. de Veenhuizen d’être responsable de moins de décès à l’hôpital Wilhelmina d’Assen pendant la pandémie de corona qu’on ne le pensait initialement. Le ministère public l’a constaté vendredi après avoir enquêté sur ces décès. « Vous pouvez imaginer que les proches veulent de la clarté. Certains y parviennent désormais. Mais d’autres ne l’obtiennent pas », a déclaré le journaliste Hjalmar Guit.



ttn-fr-41