La Russie n’a pas l’intention de donner suite à une lettre de groupes de médias appelant à la libération d’Evan Gershkovich, un journaliste du Wall Street Journal qui y a été arrêté la semaine dernière et accusé d’espionnage. Selon le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, ces mêmes organes de presse se fichent complètement du blogueur russe tué dimanche dans un attentat à la bombe.
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