La décision aurait été prise après une question du président français Emmanuel Macron.
Un cessez-le-feu et un corridor humanitaire vers la ville de Zaporizhzhya ont été annoncés ce week-end à Marioupol, mais le cessez-le-feu a été rapidement interrompu alors que les bombardements se poursuivaient. En conséquence, l’évacuation d’environ 200 000 personnes de la ville n’a pas pu avoir lieu.
Selon le conseiller présidentiel ukrainien Anton Gerashchenko, des “militants russes” ont tiré sur l’itinéraire convenu pour l’évacuation, a rapporté l’agence de presse Interfax-Ukraine.