La rencontre de Delafé et Las Flores Azules, paradisiaque dans ‘AQUÍ NOW’ et Tomavistas Extra


Ce jeudi 23 juin revient le cycle Tomavistas Extra au Parque Tierno Galván, et il sera inauguré par Delaporte, qui se produira à 20h00, et Delafé et Las Flores Azules, qui se produiront à 21h45. Des horaires qui se répéteront au cours des 2 prochaines semaines, dans un double programme qui unira Natalia Lacunza à El Buen Hijo ce vendredi 24; ou à Los Planetas avec El Último Vecino le 1er juillet, pour ne donner que quelques exemples.

Delafé et Las Flores Azules interpréteront bien sûr les plus grands tubes pour lesquels ils se sont réunis. Ils célèbrent le 20e anniversaire de « The Trumpets of Death » et ils promettent de jouer « Mar the power of the sea », « The spring » et « Holy Spirit ». Mais aussi, bien sûr, sa nouvelle production de cette année, ‘AQUÍ AHORA’, sortie ce printemps.

Oscar d’Aniello et Helena Miquel se sont retrouvés dans cet enregistrement qui peut ressembler à une chanson d’amour, mais qui est sans aucun doute en même temps une métaphore de l’amitié malgré les ruptures et les revers. Parmi les références à ‘Mar el poder del mar’, certains vers soulignent: «Tu m’as vu grandir / J’ai tellement de mal à croire / Que je pourrais te perdre à nouveau» et «Pendant toutes ces années / J’ai manqué vous / J’ai été chassé de ma vie / Et j’ai échoué dans ma tentative.

Les chœurs d’Helena Miquel se frayent progressivement un chemin, construisant le crescendo typique des chansons de Delafé et Flores Azules, faisant de sa part, bien sûr, le zénith de l’enregistrement : « Prends ma main, sortons d’ici / Ça fait un moment maintenant J’ai envie de dire (…) J’ai toujours voulu être ici et maintenant », faisant de ce dernier le refrain de la chanson, répétée jusqu’à la nausée.

‘AQUÍ AHORA’, à son tour, parie sur le son caractéristique de Delafé et des Flores Azules : il y a des restes de pop synthétique, un parlé dans son côté le plus tendre, et un type de clavier à la fin qui nous ramène à la jours de Fangoria dans ‘God hates cowards’ et Family (qu’ils ont enregistré dans leur studio à l’époque). Un thème on ne peut plus paradisiaque et qui ne heurtera pas les succès passés, puisqu’il est fait exactement des mêmes matériaux.



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