La récolte des poires est arrivée à temps grâce à des cueilleurs énergiques à la retraite

Les poires du producteur Gerard van Hal de Midwoud sont cueillies par des résidents locaux à la retraite. Il a cessé d’utiliser des travailleurs migrants depuis quelques années maintenant, mais dispose d’un bassin d’environ 20 personnes âgées qui rapportent avec plaisir la récolte de poires. « C’est amusant et j’entends immédiatement toutes sortes d’histoires du village. »

Depuis que Gérard a réduit sa superficie, il n’utilise plus de travailleurs migrants. Avec un panneau sur le chemin de sa cour et une annonce dans quelques magazines du village, le flux de cueilleurs a commencé tout seul. « L’un a pris un voisin, l’autre un membre de la famille. C’est ainsi qu’un noyau d’une vingtaine de personnes s’est formé, qui récupèrent la récolte de poires en quelques semaines », se souvient Gérard.

La récolte de poires est bonne cette année, du moins en Hollande du Nord. « Ce fut une bonne année pour les producteurs qui ont pu arroser », déclare Gérard qui, en tant que producteur de la Hollande du Nord, n’a pas eu à faire face à une interdiction de pulvérisation. Les producteurs qui n’avaient pas accès à suffisamment d’eau ont du mal après une période estivale sèche. Ils ont de très petits fruits accrochés aux arbres cette année.

confort

Il y a beaucoup de monde entre les poiriers : les plaisanteries et les plaisanteries ne sont pas rares. La plupart des cueilleurs ne le font pas pour l’argent, mais pour le plaisir. « S’amuser et être parmi les gens », dit Jan van Etten (74 ans), qui a travaillé toute sa vie dans la construction et a commencé à travailler comme cueilleur de poires pour Gerard il y a quelques années, après sa retraite. Il le fait aussi pour l’aider, mais les contacts sociaux sont aussi très importants. « Vous apprenez à connaître tout le monde de mieux en mieux. »

Travaillez avec soin

Gérard est satisfait du rythme de cueillette. Selon lui, le travail n’est pas trop dur. Lorsque les riverains viennent cueillir pour la première fois, ils reçoivent une brève instruction. Il est important que la tige reste attachée à la poire. « Tous les cueilleurs portent des gants pour ne pas abîmer les fruits avec leurs ongles », précise Gérard. « C’est un appel proche. Le moindre dommage entraîne une pourriture prématurée ou des taches brunes. »

Gerard rencontre de nombreux exemples tristes de « poires panées » dans les rayons des supermarchés. « Comme pas de pédoncules ou de stries brunes. » Et en tant qu’amateur de poires, cela le rend visiblement triste.



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