LAL Journée mondiale de l’acquisition de talents est l’anniversaire qui est célébré le premier mercredi de septembre de chaque année, à cette occasion, le Forum économique mondial a publié des recherches très intéressantes. Mené par une équipe internationale d’experts, il visait à mettre en lumière la croissance problème des entreprises à trouver de nouveaux talents. Problème qui, bien sûr, s’est aggravé avec le déclenchement de la pandémie, et qui est communément appelé par le nom de Pénurie de talents.
Une question à ne pas sous-estimer, donc, qui pourrait déboucher sur des réflexions d’ici quelques années. Des grandes aux petites entreprises, en effet, le phénomène de Talent Shortage semble se développer de plus en plus et ne regarde personne en face, avec l’avenir de nombreuses réalités qui pourraient inévitablement être menacées. Examinons donc de plus près cette recherche.
Pénurie de talents : trois entreprises sur quatre ne parviennent pas à trouver de nouveaux talents
Selon des recherches tirées de Forum économique mondial, 75% des entreprises recherchent actuellement de nouveaux profils à intégrer dans leur environnement de travail. Un fait qui pourrait être de bon augure, si ce n’était que, maintenant, jusqu’à trois entreprises sur quatre ne parviennent pas à trouver le bon talent.
En particulier, les domaines où il serait le plus difficile de trouver du personnel seraient Informatique, Ventes et Marketing Et Réception. Et ça ne s’arrête pas là. Toujours selon les données dont nous disposons, en effet, nous pouvons constater que ce phénomène, connu précisément sous le nom de pénurie de talents, a subi une augmentation de + 120% au cours des dix dernières années.
Un problème dont notre pays n’est certainement pas exempt. Si nous allons vérifier, nous pouvons en effet voir que la croissance moyenne de la pénurie de talents en Italie est légèrement inférieure au global. Cela pourrait représenter un problème sérieux pour de nombreuses entreprises dans un avenir plus ou moins proche, ainsi qu’entraver la reprise économique générale du pays. Pour cette raison, nous pouvons dire que la recherche et la sélection de nouveaux talents est devenue le nouveau grand défi de la période post-pandémique.
La parole aux experts : Francesca Verderio parle
Elle s’est ensuite également exprimée sur cette question Francesca Verderio, Gestionnaire d’acquisition de talents de Le service Zeta localise, une business unit de Zeta Service qui accompagne plus de 1 500 entreprises dans la recherche et la sélection de nouveaux talents. “C’est un nouveau scénario auquel les entreprises doivent s’adapter », explique Verderio« Sinon, cette difficulté à trouver de nouveaux talents risque de devenir la norme. Les travailleurs redéfinissent leur équilibre travail-vie personnelle, accordant de plus en plus d’importance à leur vie éprouvée. Pour cette raison, les entreprises doivent changer leur approche de la gestion des talents“.
Verderio a ensuite également ajouté : “Offrir simplement un salaire plus élevé, des primes et des avantages est un modèle dépassé et contre-productif. Nous devons imaginer une culture de travail différente, où les employés sont appréciés et encouragés à satisfaire leurs intérêts et leurs ambitions. C’est pour atteindre un niveau de fidélité plus élevé“. Une perspective très intéressante, qui implique une une plus grande conscience du moment que nous vivons par les entreprises.
Pénurie de talents et pénurie de compétences : le manque de compétences techniques
Cependant, s’il est vrai que d’une part les entreprises doivent faire leur part, il est également vrai qu’une grande partie du problème concerne les candidats eux-mêmes. Le thème de la pénurie de talents s’accompagne donc de celui de la soi-disant Pénurie de compétencesou la manque de soft skills et de compétences techniques de la part des candidats. En particulier, précisément les compétences utiles pour pourvoir les postes requis.
Toujours Francesca Verderio explique : “Il existe une réelle difficulté à tracer des profils complets non seulement de hard skills, mais aussi de soft skills, comme l’intelligence émotionnelle, la pensée critique et l’empathie. Souvent, comme dans le cas de Zeta Service, ces qualités sont plus recherchées et appréciées que les compétences techniques. En effet, ils permettent à l’entreprise de constituer une équipe capable de collaborer pour un objectif commun“.
Quelles sont donc les soft skills actuellement les plus recherchées par les entreprises et les découvreurs de talents ? La réponse à cette question est toujours fournie par les experts du service Zeta.
Soft Skills : Voici les cinq compétences les plus recherchées
Selon l’équipe d’experts de Zeta Service, les cinq soft skills actuellement les plus recherchées des entreprises sont :
- Gestion du temps: la capacité à bien organiser son temps. Cette capacité implique une définition correcte des priorités et des objectifs à court et à long terme, et peut être fondamentale pour optimiser le travail.
- Adaptabilité: la capacité de savoir s’adapter. Il est particulièrement demandé dans les environnements de travail souvent sujets à changement. Cela implique la capacité d’être en mesure de communiquer facilement avec des individus et des collègues et d’être ouvert aux nouvelles et au changement, tous des aspects très importants dans le scénario d’aujourd’hui.
- Gestion des connaissances: la capacité d’acquérir, de stocker et d’organiser des informations provenant de diverses sources. C’est une compétence de plus en plus demandée, qui implique un bon niveau d’empathie et de communication, ainsi qu’une organisation de la gestion interne.
- Esprit critique: c’est l’esprit critique, la capacité d’être capable d’analyser différentes situations de manière lucide et objective. A cela s’ajoute la capacité à trouver des solutions à ces problèmes.
- Travail d’équipe intelligent: la capacité à savoir travailler en équipe même à distance. Avec l’avènement du smartworking et des nouveaux modèles de travail hybrides, elle fait partie des soft skills les plus demandées par les entreprises, qui recherchent du personnel capable de s’adapter à une nouvelle organisation flexible du travail.
Une chose est donc certaine : l’avenir du travail passe aussi par ces compétences. Si le défi de la pénurie de talents est remporté, seul le recul le dira.
iO Donna © REPRODUCTION RÉSERVÉE