La pelle peut entrer dans le sol pour la reconstruction du Norgervaart entre le Norgerbrug et la sortie vers Veenhuizen. Cela a été décidé par le Conseil d’État.

La plus haute juridiction administrative a rejeté vendredi les objections aux plans de reconstruction. Agnes van de Vijver, résidente de Bovensmilde, a protesté plus tôt ce mois-ci à La Haye contre le plan provincial. Elle estime que Drenthe devrait attendre avec les travaux de la N373 que la limite de vitesse maximale de 60 kilomètres à l’heure soit écrite en noir sur blanc. Le plan tel qu’il est ne rend pas la traversée plus sécuritaire pour les cyclistes, croit-elle.

Le plan de la province est basé sur une vitesse maximale pour la circulation automobile le long du canal de 80 kilomètres par heure. Au Domeinweg et au Koelenweg, il y aura des guides centraux pour les cyclistes qui veulent traverser. Ils peuvent traverser la route en deux étapes. Les voitures ne peuvent pas s’y dépasser.

Des ponts cyclables séparés seront construits sur le Norgervaart pour la circulation lente. Le Conseil d’État estime que la province a suffisamment justifié que la situation des cyclistes traversants s’améliore. Le résident Van de Vijver conteste cela. Il y a maintenant des feux de circulation temporaires. Depuis, il n’y a plus eu d’accidents, dit-elle. Les feux de circulation combinés à une réduction de la vitesse maximale sont les plus sûrs, dit-elle. Ensuite, le canal n’a pas à être rétréci comme prévu par la province.

Le gouvernement provincial affirme que les feux de circulation donnent un faux sentiment de sécurité, car les cyclistes traversent souvent des feux rouges. Selon le Conseil d’État, le rétrécissement du canal n’affecte pas les spécificités du paysage de remblayage des tourbières surélevées. Le canal est rétréci parce que la route a des bermes plus larges.



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