La province est positive au sujet du plan du cabinet, ZLTO veut que l’ajustement de la grange soit retiré de la table

A première vue, les plans du cabinet de réduction des émissions d’azote présentés vendredi ont été bien accueillis par la province du Brabant. Selon le député Elies Lemkes (Agriculture), la voie empruntée est claire. « La façon de cultiver doit changer, mais les agriculteurs ont du recul. »

Ils sont également heureux à la maison provinciale que les plans du cabinet soient enfin là. Et bien que tous les morceaux ne soient pas encore complètement triés, la première image est équilibrée. « Nous connaissons mieux que personne la route empruntée par le cabinet. Nous y travaillons depuis des années dans le Brabant », a déclaré le député Lemkes.

Le ministre Adema de LNV devait proposer des plans clairs pour l’avenir des agriculteurs. Le fait que ces plans soient en fait encore assez vagues, pense Lemkes, n’est qu’une bonne chose. « La ligne est complètement claire, nous suivons l’itinéraire de Remkes. Innover, changer, déménager ou éventuellement racheter. Mais comment exactement, c’est exactement ce dont nous devons discuter les uns avec les autres. »

Convention agricole
L’objectif de l’Adema, autour de la table avec tous les partenaires de la chaîne : agriculteurs, entreprises d’alimentation animale, supermarchés et banques, est d’une importance vitale, selon Lemkes. « Parce que nous devons parler ensemble des modèles de revenus et de l’avenir. Vous ne pouvez pas enregistrer cela sans conversations. » Elle est heureuse que ces pourparlers aient lieu à court terme. L’accord dit agricole devrait être en place vers le mois de mars.

Il y a maintenant une vraie clarté pour les agriculteurs qui veulent arrêter. C’est-à-dire que le schéma pour les chargeurs de pointe est définitif. Il n’y aura pas de meilleur approvisionnement, donc les agriculteurs n’auront plus à attendre. Incidemment, le régime ne s’applique qu’aux grands émetteurs proches de la nature vulnérable. Les conditions deviendront claires en janvier.

Innovation
Lemkes souligne qu’il y a encore beaucoup de place dans les plans du cabinet pour les agriculteurs qui ne pas envie d’arrêter. Si, par exemple, ils optent pour une forme d’agriculture moins intensive. Ou s’ils peuvent réduire les émissions d’azote grâce à l’innovation. « Le cabinet aimerait se concentrer sur le ‘suivi en temps réel’ comme on l’appelle. Et le développement des nouvelles technologies dans l’agriculture. Et nous y travaillons dans le Brabant depuis 2017. Je voudrais inviter le ministre à venir avoir un coup d’oeil ici. »

Le Brabant a depuis longtemps sa propre politique en matière de limitation des émissions d’azote : les agriculteurs doivent disposer d’une écurie peu émettrice avant le 1er janvier 2024. Le permis pour cela doit être demandé avant le 1er avril 2023. Le 4 novembre, la province a annoncé qu’elle cesserait temporairement de délivrer ces permis. En effet, le juge a remis en question à plusieurs reprises la réduction effective de ces écuries. La province a décidé que le ministère de l’Agriculture, de la Nature et de la Qualité des aliments devrait clarifier la manière de traiter les calculs d’émissions.

ZLTO
Vendredi, il a été annoncé que le ministère de LVN ne donnerait pas de réponse définitive à ce sujet avant la mi-2023. Trop tard pour le délai imposé par la province aux agriculteurs pour demander un tel permis. Le ZLTO est clair : « L’arrêté écuries du Brabant septentrional pour l’adaptation des étables d’élevage de plus de 15 ou 20 ans est totalement irréalisable. Cela rend de facto impossible pour les éleveurs de demander une autorisation avant le 1er avril 2023, pour l’obtenir. , d’obtenir un financement. et de réaliser effectivement l’aménagement de la grange avant le 1er janvier 2024. »

Le ZLTO demande donc au gouvernement provincial de supprimer la date limite du 1er janvier 2024 pour tous les secteurs de l’élevage. Quelque chose que Lemkes ne peut pas encore répondre. « Quelles sont les conséquences du calendrier du ministère, nous devons en effet regarder cela de près. Je ne peux pas en dire beaucoup pour le moment. »

Selon la province, il est maintenant particulièrement important de continuer sur la voie choisie. Pour voir pour chaque domaine ce qui est possible ou plus possible dans ce domaine. Parce que les objectifs ne sont pas diminués, une réduction de l’azote de 50 % en 2030.

Détecteurs PAS
La réglementation devrait également aider à résoudre les problèmes liés aux détecteurs PAS. Ce sont des agriculteurs qui n’ont pas de permis d’azote complet sans que ce soit leur faute. L’espoir est que tant de fermes s’arrêteront volontairement que suffisamment d’espace d’azote sera libéré pour aider les reporters PAS. Ensuite, ils pourraient obtenir un permis.

Dans le Brabant, cela concerne près de 500 entreprises. Le cabinet donne 250 millions d’euros aux provinces pour pouvoir appliquer des solutions sur mesure aux reporters du PAS. Lemkes souligne qu’il s’agit bien d’une question de personnalisation. « Mais l’espace d’azote que nous libérons ira d’abord à la nature et aux détecteurs PAS. »

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