La province demande au gouvernement national 1,2 milliard d’euros pour la restauration des espaces naturels

1,2 milliard d’euros ont été demandés au gouvernement pour restaurer et réaliser les réserves naturelles de notre province. Avec cette somme d’argent, la nature, la qualité de l’eau, le climat et l’agriculture doivent être améliorés et rendus plus durables. Cela ressort clairement de la première version du Programme provincial de zone rurale (PPLG) que le conseil a publié.

Les mesures que la province prendra pour atteindre ces objectifs sont vastes. Par exemple, les élevages doivent être innovés pour réduire les émissions d’azote, les bonnes terres agricoles doivent être protégées et le niveau des nappes phréatiques dans les tourbières doit être relevé.

L’adjointe Esther Rommel de Nature et Stikstof déclare : « C’est en partie à nous de préserver notre belle province pour les générations futures. Parce qu’actuellement, notre zone rurale n’est pas en équilibre. Dans de nombreux endroits, la nature, le sol et la qualité de l’eau sont en Nous pensons qu’il est nécessaire de prendre des mesures importantes qui conduiront à une amélioration, mais ces changements ne sont pas toujours faciles.

Espace pour les agriculteurs

Selon la province, il y aura de la place pour l’agriculture. La réduction des émissions est une priorité élevée, en particulier dans les zones sensibles à l’azote. « Les entrepreneurs de ces domaines reçoivent un soutien maximal », a déclaré la province.

Dilemme

Il y a aussi des dilemmes dans le plan annoncé. Pour réduire les émissions de CO2, il a été décidé d’humidifier les zones de tourbières. La tourbe couchée sèche émet du CO2. Mouiller la tourbe réduit les émissions. Il convient de noter que la qualité de l’eau peut fortement diminuer. Cela peut prendre des années pour récupérer.

Le Conseil provincial débattra du plan les 1er et 12 juin. Jusqu’au 26 mai, les résidents de la province peuvent également donner leurs conseils.



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