La prison de Sittard licencie un trafiquant

Un employé de la prison de Sittard a été licencié pour contrebande de marchandises prohibées. L’homme de 23 ans était suspendu depuis décembre dans l’attente d’une enquête interne.

Cette enquête est désormais terminée et a abouti à un non-lieu, confirme à L1 le porte-parole de la prison, Robert Meijer.

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Chiffres frappants
Dans la prison de Sittard, on soupçonne depuis un certain temps que le personnel est impliqué dans la contrebande. Entre le 14 mars 2020 et le 31 mars 2021, 75 drogues ont été trouvées, tandis que 29 téléphones ou pièces de téléphone et chargeurs ont été trouvés durant cette période. Tout cela s’est produit au moment de mesures corona strictes; les passeurs potentiels tels que les visiteurs n’étaient pas les bienvenus.

On a également remarqué que dans les deux autres prisons du Limbourg, Roermond et Evertsoord, de la drogue ou un téléphone ont été trouvés neuf fois au total dans la même période. Sittard est le plus grand établissement avec 310 places. Les deux autres prisons réunies peuvent accueillir environ 450 personnes.

Contrebande rémunérée
En partie sur la base des chiffres frappants et des bruits persistants de contrebande, la direction de la prison de Sittard a décidé d’ouvrir une enquête interne. Le 15 décembre, cela a conduit à l’arrestation d’un employé. Il a également été fouillé. Il aurait introduit des marchandises prohibées dans les murs de la prison moyennant des frais.

Deuxième enquête
Lorsque la prison a donc achevé l’enquête interne et y a attaché des conséquences, l’enquête pénale est toujours en cours. La vingtaine peut attendre cette enquête en toute liberté. Il est toujours suspect. Il n’y a actuellement aucun autre personnel pénitentiaire en vue.



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