La présentatrice prépare la nouvelle édition du programme qui l’a consacrée. Coup d’envoi fin octobre


RÉ.après le boum la saison dernière, Bêtes se fait en trois, avec FrancAppât Fagnani plus que satisfait des résultats et prêt à retourner dans les airs mardi, mercredi et jeudi. Toujours en fin de soirée. Le coup de sifflet de départ est donné pour 25 octobre. Et l’attente des interviews pressantes du journaliste a déjà commencé.

FrancEtsca Fagnani, une bête mordante et ironique

L’élargissementEnto trois jours complets ont le même goût que toin / A promotionEt à part entière, arrivé après moi consentements multiples collectés en plusieurs parties. Je mérite à la fois le format et le sien présentateur et créateur. Directe, mordante, ironique, rusée et rapide, Fagnani a mis en avant ses qualités journalistiques et humainesempaquetant des épisodes, de temps en temps, à ne pas manquer. Let entretiens avec l’invité de service ils ne sont jamais de simples questions et réponses de circonstance, le résultat d’un scénario préétabli ou prévisible, comme cela arrive souvent. Ils ressemblent plutôt un match de boxe. Le champ de bataille est un anneau, à l’intérieur duquel l’hôtesse se déplace avec élégance et grâce afin de charmer son adversaire et porter le coup final.

EST il est presque impossible pour l’interviewé d’en sortir indemne. En effet, la plupart du temps, ceux qui acceptent de s’asseoir sur le tabouret placé devant elle sont renvoyés au tapis. Ce n’est pas toujours une tâche facile, mais Francesca Fagnani y parvient aussi grâce à l’esprit romain dont elle ne se cache pas, qui contribue à amortir les moments les plus difficiles.

Ilary Blasi et Francesca Fagnani dans l’étude de « Belve ». (Gérer)

Le styleet la direction et les invités

Approche polie, parfois ironique, mais pas somptueusece. La liturgie télévisée est toujours la même. Cela commence par « Quel animal entends-tu ? »pour sonder le privé et le public, donc carrière, déclarations, flirts, bagarres, réussites, échecs. C’est-à-dire un gril, mais sans flagellation. Le résultat final est un portrait qui révèle des nuances encore inédites des personnages. Majoritairement féminin. De 2018 – l’année des débuts sur Nove – à ce jour, il y a eu près de 60 les femmes hébergées par Fagnani. Illustres représentants de la politique, du divertissement et du sport. Vous êtes plutôt les hommes : Massimo Giletti, Morgan, Matteo Renzi, Alfonso Signorini, Teo Teocoli et Marco Travaglio.

Après le passage au Rai en 2021, le programme a grandi au point de devenir culte. UN rendez-vous où l’on attend ce brin de friction et de révélations brûlantes, fragments ensuite poussés de manière très habile sur le net, vivants et étendre la notoriété du programme dans les jours suivants. Ce n’est pas un hasard s’il est l’un des programmes les plus regardés sur Rai Play.

Le présentateur dans le studio de « Belve ». (API)

La tu as commencé comme journaliste à New York

Le suivantil de Bêtes se retrouve dans le style Fagnani. Né en 1976, sa carrière de journaliste débute à l’âge de 25 ans, après un diplôme en littérature à l’Université La Sapienza de Rome et une expérience au siège de la Rai à New York. Les débuts sur le petit écran remontent à quelques années plus tard, avec Giovanni Minoli et Michèle Santoro«Deux grands maîtres auxquels je dois beaucoup. Travailler avec eux a été un privilègebien que pas toujours une promenade dans le parc », a-t-il déclaré dans une récente interview avec Corriere della Sera.

Le gâchis à côté de deux monstres sacrés du journalisme italien a dû forger le sien approche de l’actualité et de l’histoire. Il se voit dans Bêtesmais encore plus Le prixprogramme de 2018 en 3 épisodes – disponible sur RaiPlay – sur le monde du crime organisé. Les protagonistes sont ceux qui en font partie et racontent leur expérience.

Mineuregrands-parents, adultes, détenus et ex-détenus. La coupe représentée est certes difficile, mais Fagnani parvient à établir un pont avec l’interlocuteur et aussi pour raconter cette tranche de société, en restaurant l’humanité libre de tout préjugé.

Aimeret avec Enrico Mentana

Malgré la curiosité du public, les détails du rapport avec Enrico Mentana, débutée en 2013, sont quasiment nulles. Limitez-vous à quelques paparazzi dans les rues de Rome ou sur les pistes de ski, à un post sur Instagram.

Pourtant, ces dernières années, Francesca s’est laissée aller à quelques déclarations, toujours concises. Il a notamment raconté comment il vit la relation avec l’un des visages les plus autoritaires du journalisme. Entre elle et Mentana il n’y a pas de compétition, mais de « partage ».

La raisonet il se trouve dans le calibre – et dans l’estime – envers le partenaire : »Il ne peut y avoir de compétition avec qui gagne toujours« . Précisant : « Je parle de lui bien sûr », le directeur du La7 TG.

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