La police s’engage « au maximum » à détecter les feux d’artifice illégaux : « Il s’agit d’explosifs »

Il est donc important pour la police de traquer ces lourds feux d’artifice le plus rapidement possible. Récemment, la police de la Frise a formé un groupe Telegram. « Nous avons infiltré ce groupe. Nous avons suivi qui vendait et qui achetait. Finalement, des arrestations ont été effectuées et le groupe Telegram a été fermé. »

De plus, la police poursuit les rapports (anonymes) et appelle activement les gens à signaler où les feux d’artifice illégaux sont commercialisés. « Nous faisons tout notre possible pour l’empêcher d’entrer dans les zones résidentielles. »

Les pétards illégaux se retrouvent aussi entre les maisons mitoyennes. « Dans les maisons, sous les lits des adolescents et récemment dans une malle à Assen. Ce genre de feu d’artifice contient de l’herbe éclair, qui s’enflamme beaucoup plus rapidement que l’herbe normale. Alors il ne faut pas grand-chose pour le faire exploser. Donc, si quelque chose comme si c’était dans un coffre explose, puis la voiture s’envole et tout ce qui s’y trouve aussi. »

La détection précoce des feux d’artifice illégaux potentiellement mortels porte ses fruits, en partie grâce à une méga capture en Allemagne début novembre. « Ensuite, nous avons roulé 350 000 kilos, destinés aux Pays-Bas. L’effet est qu’il y en a moins en circulation maintenant, car les prix montent en flèche. »



ttn-fr-41