La nouvelle série-événement Sky sur la dernière reine de l’ancien régime, qui a choqué la cour de France pour sa mentalité moderne et anticonformiste, fait son entrée à la télévision ce soir 15 février. Ses traumatismes deviennent une horreur psychologique


tun / A Marie-Antoinette jamais vue. Libre, indépendante, féministe à sa manière. Et, surtout au début de ses années à la cour de France, accablé par unanxiété extrême et sentiment d’inadéquation face aux devoirs imposés par la Couronne. La nouvelle série Marie-AntoinetteDisponible depuis aujourd’hui 15 février sur Ciel Série Et en streaming sur Maintenantdepuis une nouvelle interprétation de la dernière reine de laancien régime. Passée dans l’histoire pour sa frivolité et pour cette phrase embarrassante : «S’ils n’ont plus de pain, qu’ils mangent de la brioche». Incapable de comprendre le malaise des gens tout au long de sa vie, et jusqu’à la guillotine, Marie-Antoinette était pourtant aussi bien plus. Et cette série les décrit bien aspects moins connus de sa vie: non seulement le confort, mais aussi ses traumatismes et ses hostilités avec laquelle il a dû composer.

Marie Antoinette, le casting Et l’intrigue de la série Sky

Interpréter les protagonistes, peu connus, mais convaincants, Émilie école comme la reine e Louis Cunningham dans celui du Dauphin – futur Louis XVI.

Cette première saison de la nouvelle série Sky prend en considération les dix premières années françaises (1770-1780) de l’archiduchesse d’Autriche Marie-Antoinette (Émilie école), fille de la puissante impératrice Marie-Thérèse d’Autriche que pour un accord politique (l’alliance entre la France et l’Autriche contre la Pologne) il la fiance à Louis Auguste de Bourbon, futur roi de France.

L’adolescence rebelle de la dernière reine de France

Marie-Antoinette avait 14 ans lorsqu’elle a quitté l’Autriche. Elle a toute la légèreté et la ferveur d’une adolescente, en plus rebelle par nature. Allergique aux formalismes judiciaires, elle doit apprendre, à contrecœur, les stricts protocoles français. L’arc, la façon dont vous marchez, le sang-froid. Mais elle transforme tout en un jeu sur lequel ironiser.

La réalité se présente à elle cruellement en 1770 lorsqu’il descend de la voiture autrichienne pour franchir la frontière française. Il est situé devant Madame Étiquette (Laura Benson), grand-mère de la maison très rigide et sévère, chargée de lui apprendre l’étiquette royale française. C’est tout de suite un choc. Marie-Antoinette est forcée de se séparer de son carlin bien-aimé, et est battue car les câlins ne sont pas attendus. Il n’y a de place que pour les arcs formels. Mais le pire vient quand il apprend à connaître le reste de la cour royale.

Emilia Schule et Laura Benson. (Ciel)

Les débuts de Marie-Antoinette à Versailles

Effrayée comme jamais, Marie-Antoinette fait ses débuts à Versailles. Elle est aussitôt scrutée avec hostilité par Victorie et Adélaïde (Caroline Piette et Crystal Shepherd-Cross), filles du Roi, tantes du Dauphin, célibataires aigres attachés à faire respecter l’étiquette de cour, mais peu élégants à table (on n’attend pas d’eux la succion pour manger la soupe). Ils ne sont prêts qu’à critiquer le nouveau venu et bientôt complot contre elle.

Caroline Piette et Crystal Shepherd-Cross jouent les tantes. (Ciel)

Il sait Provence (Jack Archer), frère cadet du Dauphin. Rongé par l’envie de ne pas pouvoir devenir roi, il exprime sa haine par une ironie acérée et vulgaire.

Elle est impressionnée par la fluidité de Madame du Barry (Gaïa Weiss), amant décomplexé du Roi, qui à un moment donné s’est joint pour lui apprendre l’art de la séduction. Mais lorsque Marie-Antoinette découvre qu’elle est une ancienne prostituée, se sent trahie, réagit en l’évitant et se venge en essayant de l’évincer de la cour.

Au lieu de cela, il semble amical et courtois Le roi Louis XV (James Purefoy). En réalité, Marie-Antoinette se rend vite compte que sa gentillesse peut se transformer en perfide méchanceté.

Le seul sur qui il puisse compter et le Lamballe réservée et timide (Jasmine Blackborow), jeune veuve italienne (décrite comme celle qui arrive toujours en retard aux rendez-vous), membre de la famille royale par alliance. La cour de France, donc, pour la Dauphine s’avère être une endroit hostile et dangereux. Son seul désir est de s’échapper, mais il ne peut pas le faire. Alors choisissez comme arme de défense l’isolement.

Jasmin Blackborow. (Ciel)

Le Dauphin, futur roi Louis XVI : hostile et incapable au lit

Mais le pire traumatisme pour Marie-Antoinette est d’être la femme du Dauphin. Louis Auguste (Louis Cunningham), futur roi Louis XVI, n’est qu’un adolescent (il a 16 ans) quand il rencontre la Dauphine. Introverti, passionné uniquement de chasse, désintéressé de tout (même vers le nettoyage de base, à tel point que pue et déteste se baigner), accueille Marie-Antoinette avec un museau. Évitez de lui parler. Il ne la regarde pas. Il la scanne. Plus que de la peur c’est un mépris sans fondement. Le jour du mariage, il frissonne et n’arrive pas à lui mettre la bague. Lors de leur nuit de noce, il se détourne.

Pour Marie-Antoinette, c’est un très gros problème, car le sa tâche principale de la future reine est de donner un héritier à la couronne. Mais elle, bien que belle, ne connaît rien à la séduction et à l’intimité. Et le fait qu’il ne soit pas fertile (quand il arrive, elle n’a pas encore eu ses règles) devient gênant au début affaire politique ce qui inquiète Louis XV.

Marie-Antoinette icône de la mode et le problème des héritiers

Au fil des années, Marie-Antoinette apprend à faire face aux dangers de Versailles. Et quand ça devient Reine en 1774, après la mort du roi Louis XV, il commença aussi à se sentir à l’aise à la cour. La raison est simple : elle dicte enfin les règles.

Il s’abandonne à frivolités. Devient icone de la mode. Il brise les formalismes autant qu’il peut. Il devient à sa manière ce qu’on appellerait aujourd’hui symbole du féminisme et de la liberté.

Mais elle est toujours obsédée par le même devoir qui est exigé d’un souverain : donner un héritier au roi. Avec l’aide de son frère, L’empereur Joseph II, elle et son mari parviennent à consommer le mariage. Elle tombe enceinte mais donne naissance à une fille, Maria Teresa. Reste le problème de l’héritier mâle. Et quand sa mère meurt en 1780, elle est désespérée.

La comparaison avec Marie-Antoinette de Sofia Coppola

D’abord pressante et parfois pénible comme s’il s’agissait d’un horreur psychologiquecette nouvelle série se transforme alors en une impitoyable histoire de dynamique judiciaire perfide. LE les implications psychologiques sont tout. Le il n’y a pas de romance. Mais en attendant de savoir comment Marie Antoinette se dénoue, en cage en ce que c’est encore un conte de féescolle le spectateur à l’écran.

Le désir de faire des comparaisons avec Marie-Antoinette, Film de 2006 de Sofia Coppola avec Kristen Dunst, passez vite. Le protagoniste de cette série il s’avère presque être un autre personnage. Plus combatif et anxieux. Toutefois difficile de ne pas s’attacher à cet inédit Delfina-Reginasi peu conventionnel, gratuit, mais terriblement seul.

Vivement la deuxième saison, jusqu’à la guillotine

Marie-Antoinette de Sky est une série ccrime et écrit par Déborah Davisnominé pour un Oscar pour La Favorite, composé au total de huit épisodes. On s’attend à ce qu’ils soient libérés deux tous les mercredis à partir du 15 février. Presque évident deuxième (et peut-être troisième) saison. Certes, il y a des choses à raconter : la naissance de l’héritier mâle, les années de dilapidation à la cour, jusqu’à la mort tragique sur la guillotine de la Révolution française en 1792.

iO Femme © REPRODUCTION RÉSERVÉE



ttn-fr-13