La journaliste Marijn de Vries partage son expérience d’inconduite à ‘NOS Sport’

Ce qu’elle écrit ne ment pas.

Marijn de Vries à propos de ‘NOS Sport’

Elle commence sa chronique sur la période pendant laquelle elle a été autorisée à rejoindre en tant qu’analyste L’étape du soir lors du Tour de France. Elle attendait avec impatience les trois semaines que cela prendrait, mais malheureusement tout s’est passé différemment de ce qu’elle pensait.

‘langue grossière’

Elle écrit à ce sujet : « Imaginez vous retrouver dans la voiture à côté d’un collègue qui n’utilise un langage grossier que pendant des jours. Parfois, il y a quelqu’un d’autre dans la voiture, mais la plupart du temps, vous êtes seul avec eux. Puis il parle des femelles. Et baise. A propos de quelles chiennes il a baisé, par nom et prénom. Quelles salopes il veut encore baiser. Et quelles chiennes sont en ligne pour lui.

‘a besoin d’un bon tour’

Marijn en a parlé au collègue. « Pas une fois, mais dix fois », mais en vain. Après deux semaines, elle a découvert que ce collègue parlait également d’elle de cette façon. Par exemple, on lui a dit : « Il dit que tu peux dire que tu es loin de chez toi depuis longtemps à la façon dont tu marches. Que vous avez besoin d’un bon tour. Elle décrit le sentiment que cela lui a procuré : « Nue. Dégoûtant. Petite. »

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Elle l’a ensuite signalé à un rédacteur en chef. Après de longs soupirs, un autre programme de voiture a été fait, mais c’était tout. Un an plus tard, elle a été autorisée à venir au Tour quelques fois de plus, après cela plus du tout. Elle n’a reçu aucune explication à ce sujet. Pas même lorsqu’elle a interrogé les rédacteurs en chef à ce sujet et leur a dit ce qui s’était passé.

‘endommagé’

Après tout ce qui en est sorti La voix l’année dernière, Marijn a fait un rapport au NOS. « Et imaginez qu’on vous propose une entrevue avec le même rédacteur en chef à qui vous avez déjà parlé. Il veut vous dire que vous êtes celui qui se souvient de tout ce qui est faux. Bien sûr, vous refusez cette conversation.

« Comment te sentirais-tu? » elle continue sa chronique. « Je sais ce que je ressens. Ce qui s’est passé là-bas m’a profondément touché. Cela a nui à ma carrière, mais surtout à moi en tant que personne. Ça me rongeait de l’intérieur.

Maintenant c’est après un inventaire Il s’est avéré que Marijn n’était en aucun cas le seul à avoir ce genre d’expérience NSA sport.

Jack Van Gelder

Marijn a été éditeur jusqu’en 2010 Sports néerlandais. Depuis 2013, elle est analyste cycliste pour NOS, notamment dans le programme L’étape du soir. Marijn ne mentionne aucun nom dans sa colonne, et le NOS ne dit pas non plus qui exactement a reçu des plaintes. Jack van Gelder a déclaré publiquement que deux rapports ont été faits à son sujet.

Source: CNRC



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