Cette propagande pourrait également nuire “aux intérêts fondamentaux de la nation”, a rapporté lundi le gouvernement français.
Le réseau était composé d’au moins 193 sites Internet, indique le rapport de Viginum, un organisme français de surveillance des ingérences étrangères. «Aucun contenu original n’est créé. Le réseau adopte principalement les publications des réseaux sociaux d’acteurs russes ou pro-russes, des agences de presse russes et des sites officiels d’institutions ou d’acteurs locaux », expliquent les chercheurs.
“Le contenu hautement idéologique contient des histoires incorrectes ou trompeuses”, a-t-il déclaré. « Le site consacré à la France, pravda-fr.com, joue un rôle direct dans la polarisation du débat francophone en ligne. »