La force éclair de l’Europe de l’Est est contrôlée depuis Brunssum

Les actions militaires de la force éclair en Europe de l’Est sont contrôlées depuis la base de l’OTAN JFC (Joint Force Command) à Brunssum.

Ceci est confirmé par les porte-parole du JFC et de l’OTAN Le Limbourgeois

Première fois
La puissance du flash a été créée en 2002 comme moyen de dissuasion. Cependant, il n’a jamais été utilisé de cette manière auparavant. Concrètement, cela signifie qu’une partie de la Force de réaction de l’OTAN (NRF), forte de 40 000 hommes, sera envoyée dans les États membres d’Europe de l’Est pour renforcer la partie orientale de la zone OTAN. La raison en est la situation en Ukraine et la rhétorique de guerre du président russe Poutine. On ne sait pas exactement combien d’hommes seront envoyés à l’est. Selon le journal, il s’agirait de plusieurs milliers.

Changement de la garde
Le commandement de la NRF alterne constamment entre la base de l’OTAN à Brunssum et celle de Naples. Depuis le 1er janvier, c’est au tour de Brunssum. Les scénarios de guerre sont constamment pratiqués dans les deux bases.

Brunssum
On ne sait pas exactement à quoi ressemble le commandement des troupes depuis Brunssum. Un porte-parole ne veut pas dévoiler plus qu’une « opération régulière et de routine ». En tout cas, il est clair que des bunkers spéciaux sur l’ancien site minier Hendrik sont occupés 24 heures sur 24 par des spécialistes militaires de tous les pays membres de l’OTAN.

responsabilité
L’armée, l’aviation et la marine, entre autres, rendent compte au centre de commandement de Brunssum depuis la zone de crise. En fin de compte, il s’agit alors du plus haut patron militaire de l’Otan à Bruxelles, le général américain Tod Wolters.



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