La direction de la société informatique Centric démissionne après un conflit avec le propriétaire Sanderink


L’ensemble du conseil d’administration de la société informatique Centric démissionne après un différend avec le propriétaire Gerard Sanderink. Il a rapporté que Journal financier Mardi soir basé sur ses propres sources. Sanderink a tenté de saisir des millions par le biais de son entreprise à son ex-petite amie Brigitte van Egten, avec qui il mène une bataille juridique depuis des années. Cela a conduit, entre autres, à une crise de confiance au sein du conseil d’administration de Centric. L’entreprise était le mercredi matin pour CNRC pas disponible pour un commentaire.

Un juge a statué que la direction de Centric était d’accord avec la saisie coupable d’« abus de droit ». Les membres du conseil d’administration de Centric ont par la suite démissionné, y compris le directeur de Centric, Johan Taams. On ne sait pas encore à quoi ressemblera la structure de l’entreprise maintenant.

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Depuis des années, le millionnaire informatique Sanderink et son ex Van Egten mènent des dizaines de procès l’un contre l’autre. Il l’a accusée, entre autres, de fraude alors qu’elle était encore directrice de DSS, une société de panneaux solaires que Sanderink possède également. Selon lui, Van Egten ferait également partie d’une secte musulmane africaine qui tente de prendre Strukton, l’entreprise de BTP de Centric et Sanderink. Le tribunal lui a ordonné de rectifier ces allégations.

cybercharlatan

Van Egten demande, entre autres, l’interdiction de répandre les accusations à son encontre. Elle soupçonne que la petite amie actuelle de Sanderink, le cyber-conseiller controversé Rian van Rijbroek, joue un rôle important à cet égard. Van Rijbroek a été discréditée lorsqu’elle était dans le programme l’heure des nouvelles en tant que « cyberexpert » diffusant de fausses informations sur les attaques DDoS. Elle a ensuite été surnommée « cybercharlatan » dans les médias. Son livre sur la cybersécurité a été retiré du marché pour cause de plagiat.

Centric compte environ quatre mille employés et construit des systèmes informatiques pour les municipalités et d’autres institutions gouvernementales néerlandaises, entre autres. Les députés s’inquiètent depuis un certain temps de la fiabilité de l’entreprise en raison de l’influence que Van Rijbroek semble avoir sur Sanderink. Sanderink est devenu plus souvent impliqué dans diverses querelles au sein de ses entreprises ces dernières années. Plusieurs directeurs des sociétés de Sanderink l’ont déjà quitté en raison du conflit de longue date et de sa relation avec Van Rijbroek.



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