Le parlement russe a approuvé des sanctions plus sévères pour certains crimes lors de “situations de mobilisation et de combat”. Il s’agit, par exemple, de désertion, d’atteinte à des biens militaires et de refus d’obéir aux ordres militaires.
La reddition volontaire devient un crime pour les militaires russes, passible de 10 ans de prison. La chambre basse du parlement, la Douma, a voté mardi en faveur de la loi. L’approbation intervient alors que les forces ukrainiennes ont repris le territoire ukrainien occupé par la Russie.
Le Kremlin affirme qu’il n’y a pas de discussion sur la mobilisation pour soutenir les militaires participant à “l’opération militaire spéciale” en Ukraine, mais il y a des politiciens et des nationalistes qui l’appellent. Une mobilisation russe aggraverait probablement encore la guerre en Ukraine.