La critique des idées de Rousseau semble souvent acerbe, mais de plus en plus d’électeurs sont d’accord avec lui

Bonne journée lecteur,

Ce week-end, Vooruit reconfirmera Conner Rousseau en tant que chef de son parti lors d’une conférence sur la journée de la famille à Plopsaland. La partition sera stalinienne. Car quelle que soit l’influence des propositions et des idées de Rousseau sur le monde extérieur, le consensus interne est grand. Le président populaire doit enfin remettre le socialisme flamand mort depuis longtemps dans l’élan des peuples, du moins c’est l’attente générale. Et on peut dire, malgré toutes les critiques : pour ou contre, ‘Conner’ met Vooruit au centre de l’attention.

Le week-end dernier, c’était encore le prix, lorsque dans une interview à ce journal, il a fait allusion entre le nez et les lèvres au renversement de la liberté d’enseignement. « Fini avec cette structure intermédiaire de filets et de dômes. Seules les personnes et les ressources s’y glissent. Une seule forme d’éducation publique, la même pour tout le monde », dit-il. Jong CD&V’er Karl Lauwers a répondu avec cet article d’opinion fascinant.

La critique des idées sur la migration, la protection de l’enfance ou la politique énergétique semble souvent acerbe, mais, à en juger par tous les sondages possibles, de plus en plus d’électeurs sont d’accord avec Rousseau. Le président lui-même s’attend à ce que Vooruit grandisse encore, mais un an, c’est encore long en politique.

Ce message s’applique également à Groen, le parti pour qui tous les sous semblent tomber dans la mauvaise direction ces jours-ci. Le vent contraire illustre ce qui est arrivé à la députée flamande Elisabeth Meuleman : elle a d’abord annoncé sa retraite de la politique nationale, puis elle a permis à la direction du parti de la convaincre de continuer, mais maintenant le conseil provincial du parti ne lui donne pas la permission de se présenter aux élections. un autre trimestre, restez actif plus longtemps.

« Nous avons l’intention de préparer la fête pour les dix prochaines années. Cela a amené plusieurs personnes à réfléchir à leur rôle », déclare le co-président Jeremie Vaneeckhout. Et « faire de la politique dans une ville est plus direct, plus intense et plus concret que la politique dans un parlement ou même un gouvernement ne pourra jamais l’être », certains représentants verts locaux défendent le choix de la politique locale par certains dirigeants, comme Kristof Calvo. Leur réfutation est intervenue après que le collègue Joël De Ceulaer a prédit la fin de Groen tel que nous le connaissons dans un commentaire pointu.

Groen a encore un an pour mettre les choses en ordre. En principe, cela suffit, mais le parti doit alors inverser de toute urgence la tendance à la baisse. Aujourd’hui, le tableau est sombre. « Le rapport médiocre du gouvernement déçoit les électeurs, une partie tapageuse de la base crie au-dessus de la ligne du parti et effraie les nouveaux électeurs et un député après l’autre s’enfuit vers le niveau local plus convivial », ai-je écrit à ce sujet plus tôt. « Coincé entre le marteau et l’enclume, cela pourrait être une très longue année de règne.

Bonne lecture!



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