La coopérative de Haarlem Last Wil étudie comment le médicament suicide « X » peut être distribué légalement

Il y a deux semaines, le conseil d’administration du CLW a reçu une lettre d’un membre qui exprimait ses inquiétudes concernant les effets secondaires du médicament X, tels que les mouvements incontrôlés. L’organisation a alors annoncé qu’elle allait resserrer les informations sur les effets secondaires possibles et les mettre à la disposition des non-membres.

La coopérative ne dit plus non plus que la drogue entraîne une mort « humaine », mais une mort « humaine ». « Il y a des effets secondaires. Ce n’est pas un secret, nous ne devrions pas en faire toute une histoire », a déclaré le président Rob van Doorn.

Identifier les problèmes

Lors de l’assemblée générale des membres qui s’est tenue samedi, une motion contre le conseil d’administration a été discutée, car un certain nombre de membres estimaient « que le conseil d’administration a fait trop peu au cours de la période écoulée ». Le conseil d’administration peut rester en place, dit Van Doorn, mais il y aura un comité qui identifiera les problèmes possibles dans l’organisation.

L’achat et la possession de drogues suicides ne constituent pas une infraction pénale. C’est le cas si la drogue est vendue et que quelqu’un en meurt. Il peut alors y avoir un suicide assisté.



ttn-fr-55