Beşiktaş a pris du retard sur Fenerbahçe et Galatasaray, rivaux dans la même ville, dans le processus de transfert.
Pendant que leurs principaux rivaux faisaient exploser, pour ainsi dire, des « bombes » les unes après les autres, les noirs et les blancs s’efforçaient d’établir un équilibre financier…
En faisant ces calculs, Kartal, qui attendait le soutien des sponsors pour le transfert du fonds, a changé de politique alors qu’il ne trouvait pas exactement ce qu’il cherchait à cet égard.