La Belgique protège autant que possible la nature lors de la construction d’éoliennes


La Belgique protège autant que possible la nature lors de la construction d’éoliennes

Il y a déjà près de 400 éoliennes en mer, mais la zone Princess Elisabeth sera également développée pour De Panne dans les 10 prochaines années. Le ministre de la Mer du Nord Vincent Van Quickenborne veut déjà savoir quel sera l’impact sur le milieu marin. « A Gand, on étudie les effets des champs électromagnétiques. Ainsi, lorsque les câbles sont posés, ils veulent savoir quel est l’impact sur la nature, sur la faune et la flore, y compris sur l’aiguillat commun et sur les poulpes qui y vivent. Cela de cette manière, il sera déterminé comment et où les câbles peuvent et peuvent être posés. »

Dans un laboratoire spécialisé, des chercheurs mesurent les effets du rayonnement des câbles sur le développement des capsules d’œufs des poissons qui vivent dans la réserve naturelle. Robin Brabant, Institut royal des Sciences naturelles de Belgique : « Nous allons nous intéresser très spécifiquement aux œufs de requins et de calmars et aux très jeunes stades du homard européen. Ce sont en fait les espèces que nous espérons voir revenir. »

25 études naturalistes

Une fois qu’un parc éolien a été construit, un nouveau système écologique est créé. Surtout parce qu’il n’y a plus de pêche dans la région. Il est également plein de câbles. On sait peu de choses sur l’impact des radiations. Robin Brabant, Institut royal des Sciences naturelles de Belgique : « Nous menons au total 25 de ces études de nature. Une fois que tout sera clair, nous accorderons le parc éolien en concession aux entreprises candidates. »

Notre pays est précurseur dans la construction de grands parcs éoliens offshore et souhaite maximiser le rendement énergétique à l’avenir. Les futures éoliennes feront jusqu’à 300 mètres de haut.



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